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MessagePosté le: 20 Juil 2008, 15:24    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai lu et je trouve ça bien. Mais s'il te plait, prend ton temps pour bien decrire les actions, tout ça quoi. Je veux dire par là : ne bacle rien Razz
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Liranan
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MessagePosté le: 20 Juil 2008, 15:28    Sujet du message: Répondre en citant

ok merci du conseil je vais essayer d'ecrire la suite.
Din est dans un souterain sous le colisé avec les gardes qui l'ont acceuillit apres sa fausse execution.
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Liranan
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MessagePosté le: 20 Juil 2008, 16:04    Sujet du message: Répondre en citant

Agissant par automatisme, Dine prit les vêtements qu’on lui tendait et les enfila sous l’œil des deux soldats. Puis sans un mot le trio s’engagea dans un dédale de couloir sombre et malsain dans lesquelles régnait une puanteur d’outre-tombe. Le voleur avançait pesamment, trébuchant sans cesse dans le bourbier de cet immonde cloaque, en se laissant guider par la lumière de la torche qui était devant lui. Il lui semblait parcourir le couloir des enfers et son esprit avait cessé de fonctionner à la seconde
même ou le sol du gibet s’était dérobé sous ses pieds.

Au bout d’un couloir tout d’un coup surgit une lumière, un troisième garde attendait à coter d’une échelle de fer rouillé et souillé par l’humidité chargé de miasme du souterrain. On fit signe a Dine de monter, comme la traverser des couloirs, cela se fit dans un abrutissement complet comme en connaissent les hommes qui une fois dans leur vie ont eut l’occasion de voir la mort de si près que son souffle froid leur a glacé les entrailles et la pensée, comme si l’âme du voleur était rester suspendu a cette corde là bas dans le Colisée et que son corps se traînait vers un endroit ou il pourrait enfin s’effondrer.
Le Bas-Valua offrait plus d’un spectacle horrible a voir et l’on pouvait apercevoir certaine nuit malsaine roder dans les bar certain de ces hommes que la raison a déserter et qui errent sans but, voulant mourir mais n’ayant pas le courage d’affronter cette vieille compagne qui avait réduit leur vie a moins que le trépas.

Enfin la lumière pénétra les yeux des voleurs qui se sentirent happé par deux mains puissantes. Il se retrouva debout dans une petite pièce éclairée par des flambeaux accrochés aux murs. Ses nouveaux guides étaient vêtus de simples tuniques noires mais ils portaient sur le cœur l’insigne de l’armada impériale.

L’un des soldats pris la parole
« Marche droit, baisse la tête et suis nous sans discuter. Tu vas au bain puis tu rencontreras ton sauveur, il est ta dernière chance alors prend garde. »

Cette courte intervention fut comme une étincelle qui allume un brasier, les yeux du voleur se rallumèrent, son esprit se mit en branle et ses penser tourbillonnaires.

Sauveur, chance….Alors tout était réelle, il n’était pas mort et il allait peut être vivre ?!
Toujours sans un mot, il fut conduit dans une salle ou l’attendait un bac rempli d’eau froide puis il fut laisser seul.
Une chance de survivre, il faut que je la saisisse.

Il se lavas et trouvas près de la porte d’autre vêtement semblable a celui des gardes qui l’attendaient dehors a l’exception de l’écusson impériale qui n’était pas présent.

Il sortit de la pièce fut aussitôt fouillé par les soldats. Comme indiquer il garda la tête baisser sur les dalles et marcha droit derrière son guide. Dans sa tête, tout s’agitait, résonnait, et bougeait. Il se demandait qui il allait rencontrer ? Pourquoi ? Quelle allait être sa seconde chance ?… Perdu dans ses pensées, il cognat contre l’hommes qui avait stopper net devant lui.

« Entre maintenant. ».
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Yuen
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MessagePosté le: 20 Juil 2008, 16:49    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai lu rapidement, mais à première vue, cela n'a l'air pas mal du tout.
Je passe sur les fautes d'orthographe, la réflexion a déjà été faite.
Tu as un bon vocabulaire, un bon style, je n'en demande pas plus, à part un scénario recherché et qui tient la route.
Je te ferai part de mes impressions dès que j'aurai lu un peu plus attentivement.

Bon courage pour la suite.
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Et si on visitait la Suède? il y a de jolis lacs, un système téléphonique exceptionnel, des animaux intéressants dont le majestueux élan, qui a mordu ma sœur. Sans déc'! elle gravait ses initiales sur l'élan avec un cure-dents de son beauf dentiste...
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Liranan
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MessagePosté le: 21 Juil 2008, 15:30    Sujet du message: Répondre en citant

Dine leva la main vers la poignée, la saisie et la tourna. Il ouvrit la porte avec précaution et pénétra dans un salon élégant et riche qui annonçait la puissance d’un homme de marque. A gauche était encastrer dans le mur une cheminée de marbre sur laquelle reposait deux vase exquis entre lesquelles se trouvait une statuettes représentant dans les moindres détailles l’actuel empereur.
Au dessus de celle-ci, le portrait d’un homme mince aux regards sévères qui portait sur la poitrine toutes ses décorations semblait sonder tous ceux qui entraient. En croisant ces yeux froids, le jeune homme sentit son cou se raidir et son sang se glacer. A droite s’étendait une tapisserie brodée d’or sur laquelle figurait deux vaisseaux, l’un portait le drapeau impériales et faisait feu de tous ses canons et l’autre ,battant pavillon pirates, était en flammes et sombrait dans les abîmes.
Dans une vitrine placée au centre de la pièce reposait un sabre d’apparat ciselé sur un coussin de velours rouge sang. Et au fond de la pièce devant une grande baie vitrée, un bureau d’ébène supportait le poids d’une maquette d’acier d’un navire amirale de l’armada.

Englobant cela d’un regard, Dine avait compris que son sauveur n’était autre qu’un amiral impériale, mais c’est en apercevant l’homme assis derrière le bureau qu’il suit vraiment a qui il avait a faire.l’amiral avait les mains jointes au niveau du menton, quelques rides peu profondes parcourait son front large sur lequel retombait des mèches de cheveux argentés. Ses lèvres serrés, son menton pointus et ses joues plates lui donnaient un air dur. Mais ce qui frappa le plus Dine, ce fut les yeux. L’hiver polaire semblait n’être qu’un chaud soleil d’été comparé aux abysses de glace qu’était ces deux orbes bleu et que seul un éclat calculateur teinté de malveillance animait. En un regard tout fus dit.

Dine comprit qu’il était face a celui qui pouvait décider de vie ou de mort et que jamais il ne pourrait se soustraire a sn emprise, il était a jamais lié a celui qui l’avait épargné, il en était l’esclave. Il fut transpercer par ce regard acérée, ses jambes flageolèrent mais il se retint de tomber, devinant par instant que tout signe de faiblesse lui serait fatal.

L’amiral eut un sourire sardonique : « il apprend vite »
« Je vois que tu commence à comprendre dans quelle situation tu est. Je ne t’ai pas fait une fleur, je ne suis pas généreux. Tu es là et tu me dois la vie, et cette vie je compte bien l’utilisée. Tu mourras a mon service car tu ne seras jamais libre, je ne t’offre qu’un sursit. Tu a réussit à tuer trois hommes de ma garde personnelle, tu peux donc être utile. Tu es désormais soldat, mais tu vas subir un entrainement spécial, si tu y survis alors j’aurais un travail pour toi. »
Cela dit le vieil homme examina les documents étalés devant lui en congédiant son nouveau subalterne.
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MessagePosté le: 21 Juil 2008, 17:08    Sujet du message: Répondre en citant

Dine fit quelques pas en arrière puis se retourna. L’entrevue avec le haut personnage l’avait glacé, son avenir était tout tracer et obéissant inconsciemment a l’emprise que l’emprise que l’amiral avait sur lui, il décida de faire ce qui lui avait été ordonner afin de survivre. Les deux soldats l’attendait toujours et quand il sortit de la pièce ils le ramenèrent sans un mot jusqu’a l’entrée du tunnel où les deux autres gardes prirent le relais. Ils traversèrent les sinistres souterrains pendant plusieurs heures pendant les quelles Dine ne posa qu’une question

« Qui était-ce ? »
La réponse qui lui fut fournit fut sèche et avait un ton qui incitait au silence.
« Le seigneur Galcian. »

Le souterrain déboucha dans la ville basse, à quelques mètres de la gare extérieure. Un wagon attendait là.
« Monte » lui dit l’une des sentinelles.
Il obéit, les deux hommes qui l’avaient accompagné montèrent avec lui et la machine démarra.

Ce ne fut qu’au jour qu’ils arrivèrent a destination. Dine descendit et se trouva face à un fort au mur d’acier, poussé par ses geôliers, il pénétra dans l’enceinte. Pas un fort… un camp. Au centre de la cour des dizaines d’hommes s’entraînaient : le fusil, l’épée, le sabre, le combat a main nue. Ici était formés l’élite de la garde impériale dans laquelle le jeune homme avait été enrôlé. Il fut conduit aux baraquements ou un fonctionnaire comme il en faut dans toutes les organisations militaires qui se veulent fonctionnelles lui dit d’un air absent.

« Équipe 12, troisième baraque a gauche. Ils ont de l’avance alors va les rejoindre tout de suite, votre chef de section t’indiqueras ta tache. »

C’est ainsi que démarra la nouvelle vie de l’ex voleur que le destin avait choisit.
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MessagePosté le: 21 Juil 2008, 17:29    Sujet du message: Répondre en citant

Franchement, tu as de l'imagination dans tes écrits, c'est bien. J'apprécie de plus en plus ta fic... heureux
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MessagePosté le: 23 Juil 2008, 14:50    Sujet du message: Répondre en citant

merci ca fait plaisir ^^, voila la suite

Trois mois… cela faisait trois mois que Dine subissait l’entraînement des forces spéciales de l’armada. A son arriver dans le camp, l’instructeur l’avait immédiatement envoyés avec les autres pour son premier exercices.

Il avait fallu descendre dans un puit de 20 mètres de profondeurs pour rejoindre les autres soldats qui creusait un tunnel long de plusieurs kilomètres. Pendant deux semaines ils avaient travaillé dans le noir, sans savoir s’il faisait jour où nuit à la surface, ne sachant s’ils avaient travaillé des heures des jours ou quelques minutes seulement.

A la fin, quand le tunnel avait été achevé, cinq personnes avait succombé dans les profondeurs et avait été abandonnés sur place. Durant une journée les forças avait pus panser leur plaie puis ils étaient repartis dans le sens inverse en rebouchant leur tunnel. Ils retrouvèrent les corps de leurs camarades et les ensevelirent derrière eux.

Cela avait pris un mois. Un mois d’horreur et de déchirement, parfois un coup de pioche asséner au mauvais endroit perçaient une poche de souffre qui emplissait le boyaux obscure et asphyxiait les hommes. Mais malgré tout le jeune homme avait survécu. Lâchement, bassement, quand un de ses compagnons mourraient il le dépouillait, et quand une poche de gaz était atteinte, le malheureux qui avait commis l’erreur servait à fermer l’orifice. Un monde cruel, dont seul les plus forts où les plus sournois sortent vainqueurs. Dine avait été le plus sournois grâce à sa vie dans le bas-valua.

Tous n’avaient compris que quelques jours après que cet enfer n’avait été qu’une épreuve de sélection car ce ne fut qu’à partir du second mois que l’entraînement débuta vraiment. Un rythme de caserne fut adoptée et les exercices étaient toujours éreintant mais les morts se faisaient plus rares, seulement un en deux semaines. Toujours il fallait être le plus fort, sinon on se faisait submerger. L’une des taches les plus courante était de déplacer en une journée une montagne de grava sur une vingtaines de mètres. Celui qui n’arrivait pas à finir remettait les tas des autres en place pendant les cinq jours suivants. Deux fois Dine fus dernier, ses mains ensanglantées lui promettaient une nouvelles fois d’avoir à effectuer l’horrible corvée.

Il repéra donc le plus grand colosse du camp et l’encouragea à travailler le plus vite possible prétextant que sa main ne le ferait pas gagner et qu’il préférait donc ne rien faire du tout. Puis il apporta a son poulain une gourde dans laquelle il avait glissé une substance somnifères qu’il avait récupérer durant le premier mois sous terre. Quand le géant s’écroula, il le porta près de son tas qui n’avait pas bougé et s’adjugea celui du colosse. Les instructeurs comprirent la manœuvre du jeune homme mais dans ce camp de l’enfer tout était permis. A force de bassesses, Dine avait réussit a survivre pendant trois mois et avait briller aux les exercices de maniement des armes ou de combats a main nue.
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MessagePosté le: 23 Juil 2008, 19:33    Sujet du message: Répondre en citant

Quelques fautes qui pourraient être évitées avec un peu de concentration.
"...dans quelle situation tu est." au lieu de "tu es".
"...deux vase exquis", "vases".
Relis-toi bien ^^

Sinon, j'adore ton expression.
"L’hiver polaire semblait n’être qu’un chaud soleil d’été comparé aux abysses de glace qu’était ces deux orbes bleu et que seul un éclat calculateur teinté de malveillance animait."
Cette phrase entre autres m'a marqué.
Tes descriptions sont riches et bien agréables. On s'empreigne ainsi bien mieux de l'environnement dans lequel tu veux nous plonger.

Je n'ai qu'une chose à dire, continue ainsi. ^^
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MessagePosté le: 23 Juil 2008, 22:23    Sujet du message: Répondre en citant

merci ca fait plaisir d'avoir des commentaires ^^
malheureusement d'ici deux trois jours je vais arreté d'ecrire pendant trois semaine ( plus internet ). Il faudrat donc que je me remotive a fond en revenant.
j'essayerait de faire la suite quand meme avant de partir.
Bonne lecture.
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MessagePosté le: 24 Juil 2008, 9:34    Sujet du message: Répondre en citant

Tu pars souvent en vacance toi^^
(ce n'est pas un reproche, juste un constat)
ça va être long, trois semaines. J'espère que tu ne perdra pas ta motivation d'ici là :/

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MessagePosté le: 24 Juil 2008, 11:15    Sujet du message: Répondre en citant

^^ oui je profite des vacances scolaires avant de devoir reprendre les cours.
j'espere surtout que j'aurai encore le temps de faire avancer l'histoire pendant la période scolaire.
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MessagePosté le: 24 Juil 2008, 22:50    Sujet du message: Répondre en citant

Dans le camp tout était fait pour entretenir un esprit d’individualisme extrême de sorte que les contacte que le jeune homme entretenait avec ses camarades étaient tout sauf amicaux. A plusieurs reprises des pugilats avaient éclaté et les sentinelles n’étaient intervenues que pour empêcher l’altercation de déborder sur les quartier des officiers qui observaient la scène depuis le pas de leurs portes.
La plupart des hommes vouaient une haine d’autant plus forte à Dine que celui-ci progressait de façon rapide alors que ceux qui étaient venus dans le camp de leur propre gré pour le prestige suaient et souffrait en vain. Mais grâce a son esprit de suspicion frisant la paranoïa, le souffre douleurs avait réussit a éviter la plupart des pièges qui lui avaient été tendus.

Au matin du quatrième mois d’épreuve, Dine fut appelé à rejoindre les instructeurs dans leur baraquement.
« Ils semblerait que votre séjour ici soit fini, on vous rappelle à la capital. Mais avant de partir, sachez une chose mon garçon. Vous avez été envoyés dans ce camp qui est l’un des meilleurs de l’empire, pour tous les autres soldats présent c’est un honneur. Vous avez subit cela comme un supplice. Vous avez bénéficié d’un traitement de faveur et je déteste les traitements de faveur. Qui que vous soyer et quoi que vous fassiez, je veux que vous soyez sur de toujours me trouver sur votre route. Adieux. »

Cela fut dit d’un ton sans appel et le message passa clairement. Dine su que s’il voulait survivre il lui faudrait passer sur le corps de cet homme, mais pas aujourd’hui. Il fallait avant cela gagner la confiance de l’homme qui avait fait de lui ce qu’il était… une arme. Avec cet homme derrière lui, plus rien ne pourrait lui arriver.
Conformément aux ordre le jeune homme arriva a destination le lendemain.

Quand il se présenta à la garnison son ordre de mission, il fut la proie de regards suspicieux puis on le dirigea vers la grande forteresse.
Ainsi le sombre bienfaiteur séjournait a volonté dans le saint des saints du développement de l’empire.

Toutes les recherches techniques, chimiques, électroniques, magiques ou de quelque natures qu’elles soient passaient par la grande forteresse. Elle avait été nommer ainsi non pas a cause d’une quelconque utilité militaire, encore que les technologies développées là-bas puissent servir dans ce domaine, mais parce que l’empire soupçonnait les autres nations de vouloir soutirer des informations grâce a de l’espionnage de haut vol. Le centre avait donc été construit dans le but de protéger tout le secret du pays qui se voulait selon des traditions plus vieilles que le monde, être la première en matière de développement technique.
Seul les hommes les plus sures étaient donc autorisées à séjourner dans cet endroit mondialement connus et convoité. Le complexe était adossé au palais au centre même de la vallée former par les montagnes environnantes et l’ouverture sur les cieux qui se trouvait à l’ouest.

Creusé à même la roche le bâtiment était pour le moins impressionnant dans son austérité causer par le climat inhospitalier du continent mais les architecte avait eut le bon goût de compenser cela par le luxe en vogue a l’époque dans les quartiers huppés. L’exubérance déplacé, lourde, encombré et débordante.
Les décorateurs avaient mis tant d’ardeur a dorés tout ce qui passait sous leur doit que ce monde symbole de luxe était l’image de la dépravation d’une richesse vomissante qui ne sait comment faire pour être élégante et qui a pour seul but de s’exposer a la face du monde sans prendre en compte les réactions des spectateurs. Dine resta de longue minute immobile quand il pénétra dans l’entré tant le choc lumineux était violent.

Apres s’être renseigné sur l’endroit exact où se trouvait son seigneur, le soldat s’engagea dans les couloirs surchargés de monde. Il était presque trois heure du matin et déjà l’institue était bouillonnant d’activité. Partout des hommes en livrer rouges, mauves, blanches, jaunes ou bleu. Un arc-en-ciel de couleur dont chaque particule était imprégné du secret de l’univers inaccessible du commun des mortels.

Au milieu de cette effervescence intellectuelle, le pauvre citoyen du bas quartier déambulait un peu perdu jusqu’à ce qu’il aperçoive au milieu de la cohue un espace dégager par deux soldats à l’air féroce. Il s’y glissa et fut introduit après avoir présenter son ordre de missions aux deux cerbères. La pièce dans laquelle il pénétra était étrangement à l’identique de celle ou le jeune homme gracier avait été accueillie la première fois. Toujours ce tableau au regard assassin, cette même cheminée, ce sabre ce bureau. Il revivait cette journée atroce dans les moindres détailles et se rappela a qui il avait a faire.

Sans doute cela avait été fait justement dans ce but, lui rappeler ce qu’il devait. C’était réussit.
Une sueur froide parcourue tout le corps de Dine qui se raidit, avança doucement et déclara d’une voix qu’il espérait neutre.

« Vous vouliez me voir monseigneur, me voici à vos ordres. »
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MessagePosté le: 27 Juil 2008, 0:00    Sujet du message: Répondre en citant

Ton histoire est toujours aussi passionnante. Les émotions sont bien retranscrites, par contre j'ai repéré pas mal de fautes.
Je t'en donne une liste non exhaustive, mais qui pourra t'aider si tu désires les corriger.


"les contacte" : contacts

"sur les quartier des officiers qui observaient la scène depuis le pas de leurs portes. "
"quartiers" et "leur porte" (voir règle du déterminant possessif.)

"ceux[...]pour le prestige suaient et souffrait en vain."
Souffraient.

"Ils semblerait que" : "Il" bien sûr ^^

"à la capital" : "capitale"

"Les autres soldats présent" : Présents

"vous soyer" : soyez

"vous soyez sur de" : sûr, sinon ça ne veut rien dire.

"Dine su que " : sut. Si tu hésites sur la terminaison des verbes, il existe plusieurs sites bien pratiques avec toute la conjugaison des verbes.

"Conformément aux ordre le jeune homme arriva a destination le lendemain" :
"aux ordres" et "à"

"de quelque natures qu'elles soient" pas de pluriel dans cette expression si mes souvenirs sont bons.
"de quelque nature qu'elles soient"

"Elle avait été nommer"
nommée

"Seul les hommes les plus sures étaient donc autorisées à séjourner dans cet endroit mondialement connus et convoité"
seuls les hommes les plus sûrs ; autorisés ; connu.

"la vallée former " : formée

"son austérité causer" : causé

"les architecte avait eut le bon goût de compenser cela par le luxe en vogue a l’époque dans les quartiers huppés."
architectes ; eu ; à ; phrase qui me semble mal tournée.

"L’exubérance déplacé, lourde, encombré et débordante. " : déplacée ; encombrée.

"Les décorateurs avaient mis tant d’ardeur a dorés tout ce qui passait sous leur doit que ce monde symbole de luxe était l’image de la dépravation d’une richesse vomissante qui ne sait comment faire pour être élégante et qui a pour seul but de s’exposer a la face du monde sans prendre en compte les réactions des spectateurs."
à dorer ; leurs doigts ; savait et non sait (pas de présent dans une narration au passé) ; avait et non "a" ; à.

"Dine resta de longue minute immobile quand il pénétra dans l’entré tant le choc lumineux était violent. "
longues minutes...l'entrée.

"Il était presque trois heure du matin et déjà l’institue était bouillonnant d’activité."
heures ; bouillonnante.

"Partout des hommes en livrer rouges, mauves..."
J'ai pas compris cette phrase. Le sens m'échappe totalement, c'est surtout "en livrer" qui m'intrigue.

"un espace dégager" : dégagé
"après avoir présenter" : présenté

"de celle ou " : où

"a qui il avait a faire" : à


Voilà ^^
En espérant ne pas avoir commis de fautes à mon tour.
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