Ma fic (chapitre 1 edité)

Din · l'Impétueux Sexe: Inscrit le: 20 Aoû 2005 Messages: 2078

Chapitre 11: L'oeil d'Efreet

La technique d'Alfonso avait réussi à protéger le groupe de l'attaque mortelle. La géante se mit à bouger et a cogner avec rage contre les parois. Si elle provoquait une éruption cela pourrait créer une réaction en chaîne pouvant causer l'éruption de tous les volcans de l'îles. Ça pourrait aller jusqu'a détruire les îles autour et une bonne partie du continent le plus proche.

"Merde ce truc dois bien avoir une faiblesse!", s'exclama Maest.

De son coté, De loco tentait de soigner Din mais bientôt il épuisa toute son énergie magique. Quand à la jeune épéiste, elle était toujours inconsciente.

"Pourquoi es-ce que je m'acharne à la guérir de tout façon...", se demanda t'il.

Il vit soudain Din se réveiller.

"De Loco? C'est toi qui m'as soigné?, demanda t'elle.

-Es-ce que j'avais le choix", pensa celui-ci.

Sans attendre la réponse Din le remercia. Elle bougea un peu son bras. Ça faisait encore mal mais ça ne la gênerais pas pour combattre. Elle se tourna vers Maest et Alfonso.

"Hey...Ils ne peuvent pas se passer de nous. On devrais aller les aider. On ne va pas les laissez s'amuser sans nous quand même'', dit Din en faisant un clin d'oeil avec un sourire.

Il hocha la tête et prit une réserve de bombes.

"Din! Ça va?, demanda Maest en la voyant arriver.

-Oui, toi?, demanda celle-ci comme si rien n'était.

-Cette chose est en train de prendre le dessus!", dit Alfonso.

De Loco cherchait une faiblesse mais la géante le plaqua contre le mur.

"Pyro Enfer!", s'écria Din.

L'attaque ne marcha pas du tout. La créature semblait plus forte et confiante. Il fallait agir vite avant que De Loco ne soit complètement écrasé. Le corps de la géante était très dur et les coups de rapière d'Alfonso ne faisait pas la moindre égratignure. Par contre son cou semblait plus fragile...C'était le point faible.

"Din! Essaie d'attaquer son cou!", cria t'il.

Elle sauta vers la géante tandis qu'elle crachait de nouveau un jet de flamme.
Un champ de force crée par Alfonso se forma autour de Din, la protégant de l'attaque. Son épée pointée droit devant elle s'enfonça dans la gorge du monstre qui tomba sur le sol dans un bruit sourd.
De Loco retomba quand la main de la géante le lacha.

L'épéiste accouru et s'accroupit à coté de lui.

"Ça va???", demanda t'elle.

Il reprit son souffle et hocha la tête. Din, rassurée, souria comme à son habitude.

"En tout cas on n'auras pas fait ça pour rien", dit elle en s'avançant vers la pierre.

Cette relique dégageait de la chaleur mais ne la brûla pas.

"Alors où on va ensuite?, demanda Din.

-On viens juste de prendre l'oeil d'Efreet après un combat où tu as failli finir grillée et De Loco applati et tu demande où on va ensuite?! , s'exclama Alfonso.

-Il va falloir trouver une façon d'avoir un autre bateau avant, dit De Loco.

-Ah ouais..., dit Maest.

-Quoi?, demanda Alfonso.

-J'ai oublié de vous dire que le bateau ne m'appartenait pas. Il était juste loué..., avoua le mage.

-MAEST! ", crièrent à l'unissons Din, Alfonso et De Loco.

Ils ressortirent et le seigneur Vulcain les attendait.

"Ovarb senuej sneg. Suov zeva issuér!, dit il.

-Il a dit: Bravo jeunes gens. Vous avez réussi, traduisit Maest.

-Lieo'l teerfe'd suov sneiver ed tiord", termina Vulcain.

Il avait dit que l'oeil d'Efreet leur revenait de droit. Le gardien s'accroupit et laissa le groupe monter sur son dos.

Din · l'Impétueux Sexe: Inscrit le: 20 Aoû 2005 Messages: 2078

Je suis arrivée à finir ce chapitre. Je vais essayer de ne pas prendre trop de temps pour les suivants. Sinon parlant de prendre du temps, les personnages qui ne sont pas de Skies of Arcadia ont tous étés crées l'année dernière. Je n'avais juste pas de scénario pour l'histoire. Et pour ceux qui déteste le nouveau perso, Seifer, autant que moi: il ne restera pas longtemps. Aussi les noms de villes je ne les aime pas non plus mais bon j'espère faire mieux pour ça.

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Chapitre 12: Attaque surprise

Vulcain les ramena au port dans un coin où il ne serais pas vu.

"Il nous dit bonne chance", dit Maest.

En effet ils allaient en avoir besoin parce que le propriétaire du bateau les attendait.

"Tu va lui expliquer!", dit Alfonso en poussant Maest vers lui.

Le groupe fut forçé de travailler à la fois pour rembourser mais aussi pour s'acheter un nouveau bateau. Le soir du dernier jour de travail...

Ils sortirent du magasin de location. Il faisait nuit et la mer était calme. Ils allaient se diriger vers l'auberge quand ils la virent exploser devant eux.

"Whoa!!! C'était quoi ça?!, s'écria Din, horrifiée.

-Attention!", cria Alfonso.

Le groupe évita de justesse une nouvelle attaque. Le magasin était égallement en feu.

Ils se tournèrent vers la mer et virent une armée maritîme qui tirait sur le village tandis que les villageois hurlaient.

Ceux-ci tentaient désespérèment de s'enfuir mais beaucoup périrent à cause des canons.

"Il faut sortir d'ici avant de connaitre le même sort!", s'exclama Alfonso.

Ils coururent sans trop savoir où aller exactement. De Loco trébucha. Ses bottes à bouts pointus n'étaient pas faites pour courir.

"De Loco!, s'écria Din.

- Idiote! Pourquoi tu viens par là?! ", dit il.

Sans l'écouter elle le prit par le bras, l'aida à se relever puis se dépêcha à rejoindre Maest et Alfonso en l'entrainant avec elle. Il y avait des explosions tout autour d'eux. Ils étaient pris au piège.

"Hey! Par ici! ", appella une voix.

Sans réfléchir, ils se dépêchèrent d'aller voir d'où ça venait. Ils virent une trappe entrouverte sur le sol. Ils entrèrent sans attendre. C'était une réserve de nourriture et d'eau souterraine. Celui qui leur avait dit d'entrer était un jeune garçon d' à peu près treize ans. Ses cheveux rebelles étaient blond et noir. Il portait un bandeau couleur sable qui cachait à moitié ses yeux marrons.

"Ici vous serez à l'abris, dit il.

-Qui est tu? Et où sont tes parents?, demanda Maest.

-Seifer Karel. Quand à mes parents, ils sont enterrés au cimetière du village voisin...

-Oh...Désolé, dit Din.

-Qu'es-ce qui se passe dehors?! Ils sont venus comme ça et se sont mis à attaquer alors que la ville était sans défense!, dit Alfonso.

-Je vous ai dit qu'une guerre se préparait non? Sybak était une ville neutre. Des représentants des deux empires, déja ennemis au départ, ont trouvé des archives de l'ancienne guerre là-bas. Ils ont découvert l'existence des reliques et chacun les cherche pour vaincre l'autre contrée. C'était surement une attaque des Taurans du continent de Taurania, expliqua Din.

-Demain ils vont bloquer la voie marine au cas où des civils rencontreraient des navires ennemis", ajouta Seifer.

Le groupe se dit que pour la quête c'était foutu. Comment es-ce qu'ils allaient faire pour continuer quand le transport marin deviendra illégal?

"Bah pourquoi vous faites cette tête?, demanda le jeune orphelin.

-On travaillaient pour acheter un bateau pour...un voyage important, répondit Maest.

-Voyage important hein? Dites ce que vous chercher et je peux peut-être vous aider.

-Ça ne regarde que nous, répondit De Loco.

-Hey, j'aurais pu aussi bien vous laisser crever dehors.

-...On recherche les reliques, avoua le mage.

-Y'a encore des imbéciles qui cherchent?! L'empire peut peut-être s'en servir et encore j'en doute et vous? Vous êtes qui pour les chercher? C'est pas des trucs à vendre au marché noir les gars. C'est pas pour faire joujou avec non plus, se moqua Seifer.

-On a trouvé deux reliques, une arme sacrée et rencontré deux séraphims, répliqua Alfonso, vexé de l'arrogance du garçon.

-Trois, si on compte celui que j'ai vu avant de vous rencontrer, ajouta Maest.

-Vous? Ouais ouais...Vous avez du prendre quelque chose de vraiment fort. Et je vous ai fait entrer ici...

-Tu ne nous croie pas? Je comprend que c'est pas facile à gober. C'était dur à croire pour nous au début mais on as des preuves", dit Din.

Elle prit son sac et vida son contenu sur le sol devant lui. Elle prit une sphère enveloppée d'un vieux tissu et l'enleva laissant l'aura lumineuse se montrer. Alfonso sortit le talisman et Maest montra la dague glaçée. Le jeune garçon avait la bouche ouverte et les yeux ronds d'étonnement.

"Wah..., soufla celui-ci.

-Convaincu?, demanda la jeune épéiste.

-...Là j'avoue vous êtes forts. Y'en faut beaucoup pour m'impressioner d'habitude.

-Alors? Comme ça tu peux nous aider?, demanda l'ingénieur.

-C'est pas parce que quelque chose est illégal qu'on ne peux pas le faire quand même", répondit vaguement Seifer.

Ses parents devaient être morts quand il était très jeune car leur "allié inattendu" avait un coté assez délinquant. Alfonso ne l'aimait pas trop. Les gens nobles regardaient de haut les habitants des taudis. Les vêtements de l'orphelin étaient un peu différents de ceux des gens qui vivaient dans le bas-Valua. Il avait l'air juste "moin pauvre" mais ses habits semblaient usés, surtout aux genous. Comme si il avait abîmer le tissu en rampant ou quelque chose du genre.

Ils étaient à l'abris, loins du massacre qui pourtant se déroulait au-dessus d'eux. Le noble valuan n'aimait pas du tout être réduit à se caher dans cet espèce de "terrier". Le groupe n'avait pas le choix de passer la nuit dans leur cachette. C'était une nuit difficile pour tous. Ils ne trouvaient pas le sommeil à cause du stress. Qu'es-ce qui se passerait si les attaquants les trouveraient? Sans compter que Maest se trouvait juste en dessous de la trappe. Ils avaient entendu les bruits de canons s'arrêter finalement mais c'était pour cèder la place au son des pas. Le plafond tremblait et la trappe de bois n'arrêtait pas de bouger à cause des gens qui couraient au dessus.

Le mage espèrait que le bois était plus solide qu'il en avait l'air car à chaque pas que quelqun faisait, il avait l'impression que ça allait s'écrouler. Vu le manque d'espace, il n'avait pas trop le choix. De Loco était assis dans son coin et dessinait des plans pour le Chaméléon. Din nettoyait son arme nerveusement, Alfonso tentait de dormir sans succès et Seifer buvait, sans se soucier de rien, ce qui ressemblait à une boisson alcoolisée.

Après avoir passé la nuit à entendre le bruit des armes et les cris de morts des habitants, la bataille semblait être finie. Seifer entrouvit la trappe avec précaution. L'aube était arrivée et on commencait à percevoir les faibles rayons de soleil tandis que sur la mer on pouvait appercevoir les bateaux s'éloigner. Le garçon sentit qu'il avait quelque chose sur la trappe. Il l'ouvrit un peu plus et entendit un truc tomber tomber en arrière. C'était un cadavre ensanglanté. On aurait dit que ça ne faisait rien pour Seifer et on n'était pas sur de l'expression de De Loco. Ce dernier avait souvent fait executés des gens de manière violente alors il semblait habitué. Maest était horrifié. Din avait déja vu des morts mais elle avait blemi. Alfonso, en tant qu'admiral, connaissait ça aussi mais il y avait juste quelque chose de différent. Il ne savait pas pourquoi mais il se sentait étrange. Il eut soudain des nausées puis s'éloigna rapidement, la main plaquée contre sa bouche.

Le village avait été brûlé et les corps étaient éparpillés un peu partout. Es-ce que les taurans étaient cruels à ce point? Ils allèrent voir Alfonso qui revenait vers eux, encore pâle.

"Ça va?, demanda Maest.

-Oui...Qu'es-ce qu'on fait maintenant?

-On va à Taurania...", répondit le plus jeune.

Après avoir enterré les corps, le groupe quitta les ruines du village en direction de la ville voisine, Kadelan.

Din · l'Impétueux Sexe: Inscrit le: 20 Aoû 2005 Messages: 2078

Quand je n'avais pas encore d'idée de scénario je voulait faire une histoire juste sur le nouveau personnage(OniMist) mais les idées ne venaient pas alors je l'avait abandonnée pendant toute année. Je me suis souvenue d'elle en retrouvant un vieux dessin.

Sinon pour expliquer d'oû vient le nom, au début je voulais l'appeller Mist mais je trouvait qu'il manquait quelque chose alors j'ai ajouter Oni à cause de OniLink dans Zelda MM.

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Chapitre 13: Ombre et lumière

"Êtes-vous cinglés ou suicidaires?! La location de bateaux à été interdite par ordre du roi", dit l'homme qui dirigeait le magasin de location de la ville. Ils étaient arrivés après une semaine et tentaient de convaincre le vendeur mais en vain. Seifer était furieux quand à l'homme, il lui dit qu'il ne laisserait encore moin un enfant aller en bateau après les évènements.

"VOUS ALLEZ NOUS EN LOUER UN OU MERDE?! JE VOUS DONNERAI LE DOUBLE DU PRIX!!! ESPÈCE DE FILS DE...", gueula Seifer avant que Maest lui mette sa main sur sa bouche.

"Excusez-nous...", dit-il en emmenant le jeune garçon qui se débattait en jurant. Maest finit par le lâcher après s'être assez éloigner.

"Ça va pas?!, cria le jeune garçon.

-On allait te dire la même chose!, répliqua Maest.

-Tes parents ne t'ont jamais appris la politesse?, demanda Alfonso, choqué.

-J'avais six ans alors j'ai pas retenu grand chose des années précédentes.

-Heu excusez-moi?, dit une voix hésitante.

-Hey je vous parle alors tournez-vous vers moi!", dit une autre très ressemblante mais plus forte.

Le groupe se tourna vers les deux interlocutrices. Ils firent des yeux ronds en voyant les deux jeunes femmes. Elles devaient avoir dans les vingt ans mais elles étaient très petites. Elles arrivaient à la hauteur du cou de De Loco. L'une d'elles avait des cheveux blonds coiffés en deux couettes rondes. Elle avait des yeux couleur aqua. Sa robe était bleue et blanche et semblait plus faite pour une petite fille. L'autre à coté avait la même coiffure mais ses cheveux étaient bourgogne et ses yeux étaient jaune. Juste à voir son expression, elle n'avait pas l'air commode. Sa robe ressemblait beaucoup à celle de la blonde mais elle était noire et rouge. Toutes les deux portaient un colier. La blonde en avait un en argent avec des ailes d'anges et était serti de lapis lazuli. L'autre était en argent mais plus foncé avec des ailes de démon et était serti de rubis.

"Je ne voulais pas vous déranger, dit timidement la blonde.

-Bah tu nous dérange!, répondit sèchement Seifer.

-Ah fait pas ta crise le gamin! J'ai entendu ce qui s'est qui s'est passé, répliqua l'autre femme en lui lançant un regard noir.

-Désolé. Heu qui êtes vous et qu'es-ce que vous vouliez nous dire?, demanda Din.

-Je m'apelle OniMist Twillight. Pardon mais j'ai entendu votre discution..., commença la blonde.

-Je me trouve dans le même continent normal que j'ai entendue, ajouta l'autre.

-Et tu es...?, lui demanda Alfonso.

-Tu souffre de perte de mémoire? Je viens de dire que je m'appelle OniMist. Je suis divisée en...,

-...mon bon coté..., dit la blonde

-...et mon mauvais", complèta celle aux cheveux sombre.

Le groupe la regarda avec confusion. C'était assez étrange. D'abord ils étaient aidés par un jeune délinquant et ensuite par une jeune femme naine séparée en ses deux personnalités. D'ailleur comment c'était arrivé? Aussi ils se demandaient pourquoi Seifer voulait aller à Taurania.

"Bon on ne va pas y passer la journée. Je suis venue vous dire que si vous voulez un bateau, je peux vous en passez un. Normalement je n'aurais pas fait ça mais je me suis dit que ce serait gentil de vous aider..., expliqua OniMist

-Ah bon?, demanda Din.

-Puisque je te le dis nunuche..., répondit son ''mauvais" coté.

-Mais même si vous...si tu as un bateau on n'a pas le droit de s'en servir!, rappella Maest.

-Bah j'allais partir quand même. Je fais ce que je veux, dit OniMist.

-Ça m'inquiète pas mal de faire ça contre la loi, dit la blonde.

-Mais il faut que je parte à Taurania! C'est surement eux qui ont détruit le village alors faut que j'aille leur botter le derrière!, répliqua son alter-ego.

-Attend, tu es une naine non? Le village qui a été attaqué est un territoire d'humains, dit Seifer.

-Je n'avais pas le choix. Il fallait bien que je vive quelque part", répondit OniMist tristement.

Deux autres questions s'ajoutaient à toutes celles que le groupe se posait déja. Pourquoi vivait t'elle dans un village d'humains et voulait-elle seulement se venger?

"Pourquoi tu veux aller là-bas, Seifer?, demanda Alfonso.

-Tu me suis et tu ne sais pas pourquoi? Crétin...

-Répond, dit Din d'une voix sèche inhabituelle.

-Tu l'as dit toi-même. Les représentants des deux empires ont trouvé des archives sur les reliques. Si on les prend, ils n'auront pas les informations pour les trouver, dit Seifer.

-Les reliques?! Vous les chercher?!", demanda OniMist.

La blonde semblait surtout étonnée et celle aux cheveux bourgogne se moquait. Comme pour Seifer, il fallu lui montrer les preuves. Son bon coté s'excusa tandis que l'alter-ego les fixait bouche bée.

"Ça ne sera pas facile mais je veux bien vous aider si vous voulez, proposa OniMist.

-Merci beaucoup", répondit Din avec un sourire.

Le groupe se rendit à une auberge pour se reposer car demain allait être une dure journée.

alabdark

Dis toi que je continue a lire , c'est bien
continue surtout!!
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Si tu lis ca, c'est que tu flottes sur un spectre. Un spectre de mon passé, au sens physique du terme, une trace dans la lumière qu'a laissé mon âme. Une trace maintenant inactive du beau royaume d'internet, mais une archive, un écrit qui nous indique que peut-être, à un moment de notre existence, nos âmes etaient au même endroit

Din · l'Impétueux Sexe: Inscrit le: 20 Aoû 2005 Messages: 2078

Merci

ça faisait longtemps que je n'avais pas continuer la fic à cause que je continuais à écrire les cahiers alors j'ai décider de la reprendre un peu.

Et dès que j'ai fini le quatrième cahier je ne commencerai pas le cinquième jusqu'a ce que ce soit transcrit sur internet. Ce sera plus simple comme ça.

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Chapitre 14: Infiltration et discrètion

"Alfonso?...Alfonso peut tu te réveiller s'il te plait?, chuchota OniMist.

-Hmm...Non je ne veux pas travailler à l'armada aujourd'hui", marmonna celui-ci d'une voix endormie.

De Loco alluma les lampes puis la OniMist rebelle sauta sur le lit en criant: "ON SE RÉVEILLE!!!"

Alfonso cria, tomba du lit et se releva complètement réveillé.

"T'aurais pu crier plus fort toute la ville ne t'a pas encore entendue!", dit Alfonso avec énervement.

Le groupe devait sortir et prendre le bateau cette nuit-là pour éviter d'attirer l'attention sur eux. La nuit était fraîche et la mer tranquille donc les conditions climatiques leur permettait de naviguer. Ils allèrent vers le port mais une grille était installée pour bloquer l'accès. Ils ne pouvaient pas grimper à cause de la hauteur et un énorme cadenas scellait l'entrée.

"Je ne peux pas le briser avec mon épée c'est trop solide..., soupira Din.

-De Loco ne peut pas utiliser des bombes non plus sinon ça va réveiller toute la ville, ajouta Maest.

-Mais il y a un moyen", dit celui-ci.

Il sortit une pièce métallique, observa la forme de la serrure puis sortit un objet qui ressemblait à un stylo. Il appuya sur un bouton et un rayon rouge sortit au bout.

"C'est quoi?", demanda Alfonso.

De Loco leur expliqua d'une façon assez compliqué et il semblait être le seul qui pouvait se comprendre.

"Hein???, fit le groupe.

-Ça fait fondre ou rend certains métaux mous pour les manipuler", résuma De Loco.

Il fit parcourir la lumière rouge plusieur fois puis l'éteignit et le rangea. Il put faire plusieurs plis et manipuler le métal pour lui donner la forme d'une clé. Il attendit que ça durcisse pour que la clé garde sa forme puis l'inséra dans la serrure.

"Brillant...", souffla OniMist.

L'admiral ne dit rien et semblait avoir accéléré le pas. Ils montèrent dans leur embarquation s'éloignèrent doucement du port.

"Le plus dur s'en vient. Il faudra s'infiltrer dans le continent ennemi et s'arranger pour prendre ces documents sans être vus", dit Maest.

Alfonso et De Loco se dirent qu'ils auraient bien besoin de l'admiral Belleza. C'était elle la spécialiste en infiltration et espionnage. Pendant ce temps, à la grande fortesse valuan...

Galcian se tourna vers le reste des admiraux.

"J'ai reçu l'information que Alfonso et De Loco ne se sont pas rendus à Ixa'Taka. Ils sont disparus depuis un mois déja. J'ai aussi eu des nouvelles disant que des témoins ont vu leurs vaisseaux sombrer", annonça t'il.

Gregorio baissa la tête tandis que Belleza et Vigoro avaient l'air plus étonnés et un peu troublés. Ramirez semblait indifférent. C'est sur cette nouvelle que la réunion de dernière minute prit fin. Galcian pensa à trouver deux autres admiraux pour les remplacer. Engager un autre ingénieur allait être plus difficile mais il avait son idée sur qui allait remplacer Alfonso comme premier admiral.

De leur coté, le groupe était presque arrivé. On appellait la capitale Tauran, continent fantôme à cause de la brume épaisse qui l'entourait. Ceux qui vivaient de ce monde pouvaient reconnaître l'endroit. Alfonso et De Loco, eux, trouvaient que ça ressemblait un peu à Valua C'était surement sombre et lugubre à cause qu'il faisait nuit. Àa devait être moin pire durant le jour. Ce n'était pas couvert de nuages noirs et les habitaient ne semblait pas vivre dans les ténèbres avec des orages constants

"On est arrivés...", dit Seifer.

Au moin le port était bien éclairé.

"Ils ont une belle ville mais leur contrée à une très mauvaise réputation à cause des empereurs précédents, dit Maest.

-Ouais et si c'est eux qui ont attaqué le village ils n'aident pas à amélioré leur réputation justement, ajouta Din.

-Bon je veux bien croire que cet empire a put prendre plusieurs archives mais qui les as normalement?, demanda Alfonso.

-La famille royale évidement, dit le jeune garçon.

-Seifer?! Tu prévoyais infiltrer un palais?!, s'écria OniMist, les yeux écartillés de surprise.

-Ouais, répondit celui-ci nonchalament.

-Je ne sais pas comment sont les palais ici mais chez nous on ne peux pas y entrer à cause des gardes, répliqua Alfonso.

-Bah qu'es-ce qu'on as à perdre?, demanda Seifer.

-Nos vies...Mais bon je suppose qu'après avoir pris le bateau illégalement et être arrivés ici on ne peux plus reculer", dit De Loco.

Le groupe quitta le port. Trouver le palais n'allait pas être difficile avec sa taille impressionante. On ne pouvait pas le manquer. Par contre pour y entrer c'était une autre histoire. Il y avait une large grille menant à un jardin gigantesque. Il y avait même un grand lac dans la court.

"Il y a deux gardes là!, avertit Maest.

-Deux hein?...Laissez les moi", dit OniMist avec un sourire en coin.

Elle se dirigea vers les gardes tandis que le groupe s'était caché de façon à voir et entendre ce qu'elle faisait sans être vu. Les gardes étaient plutôt étonnés de voir deux jeunes femmes si petites se promener au milieu de la nuit.

"Bonjour messieurs, salua poliment OniMist.

-Jeunes dames c'est dangereux de se balader après le coucher du soleil, dit l'un des hommes.

-Je souhaite entrer s'il vous plait. Je dois rencontrer sa majestée, dit elle.

-Mais les gens du peuple ne peuvent entrer", répondit le deuxième garde.

Cette remarque aurait mit le mauvais coté d'OniMist furieuse mais elle eu un autre sourire en coin et s'avança vers l'un d'eux.

"Qu'es-ce qu'elle fait? Ça ne va pas lui causer des ennuis?, demanda Maest.

-Pour l'instant on doit rester là. Elle avait l'air d'avoir un plan quand elle est partie les voir", répondit la jeune épéiste.

Le reste du groupe la laissa faire en attendant de voir ce qu'elle avait en tête.

"S'il vous plait j'ai besoin d'entrer. Vous n'allez rien dire n'es-ce pas?, demanda celle aux cheveux foncés en jouant avec les boutons de chemise du garde.

-Nous ne pouvons pas...

-J'aime les hommes en uniforme vous savez?

-Vous perdez votre temps rentrez chez vous", dit le garde.

OniMist tourna les talons. Son coté rebelle se tourna vers elle en disant: '' Je ne devrais pas abandonner comme ça alors je ferais mieux d'utiliser le plan B"

Avant que le groupe et les gardes n'aient le temps de réagie, OniMist porta sa main à son collier. L'une l'arracha tandis que l'autre l'enlevait avec douceur. Avec un synchronisme parfait, les deux moitiés levèrent leur bijoux qui s'allongèrent et formèrent des sceptres. OniMist frappa fortement les deux hommes mais avec le manche à cause de sa part de pitié qu'elle avait. Le groupe vint la rejoindre tandis qu'elle remettait son collier, revenu à sa forme d'origine. Elle alla fouiller dans les poches de l'un des gardien et ramassa les clés.

"Ça c'était incroyable!, s'exclama Din joyeusement

-Faut pas perdre notre temps à discuter ici sinon ils vont se réveiller!", dit De Loco.

Ils entrèrent en vitesse dans la court du palais.

Din · l'Impétueux Sexe: Inscrit le: 20 Aoû 2005 Messages: 2078

Chapitre 15: Armada

Ils se retrouvèrent dans le jardin qui était encore plus grand qu'il en avait l'air. Soudain un bruit de cloche se fit entendre. Alfonso se rendit compte qu'une plaque rouge était dissimulée sous la pelouse. C'était une alarme et il venait de marcher dessus.

"Merde...Je ne fait que des conneries, s'écria Alfonso.

-C'est pas ta faute...Courez!", dit Din aux autres.

Ils fonçèrent droit devant eux. Soudain une liane de ronces passa devant Seifer. Il aurait été gravement blessé si Maest ne l'aurait pas attiré en arrière avant. Ils virent à coté un homme en uniforme vert, un druide. Les ronces sortaient de ses bras.

"Intrus! Rendez-vous ou vous serez tués!", menaça celui-ci.

OniMist se plaça devant le groupe.

"C'est moi imbécile!", dit elle.

Le visage de l'homme était devenu pâle tandis que ses lianes rentraient dans ses bras.

"A...Admiral, bégaya t'il.

-Admiral, s'écria le groupe avec confusion.

-Pardonnez-moi. J'ai oublié ce détail. Je suis OniMist Twillight, première admiral de l'armada Tauran, dit elle.

-Et...eux, demanda le druide.

-Emmenez-les", répondit OniMist.

Maest et Seifer étaient dans la même cellule.

"Sale..., commenca celui-ci.

-Épargne moi ton language, coupa Maest.

-Non mais j'arrive pas à croire qu'elle nous as fait enfermés! Quelle conne!", râla Seifer en cognant contre les barreaux.

À l'étage au dessus se trouvait Din, Alfonso et De Loco. Din était dans une cellule à part.

"Alors ils ont aussi une armada ici..., souffla De Loco.

-Je ne pensais pas qu'OniMist était une admiral, dit Din.

-Je suis désolé...si je n'aurais pas activé l'alarme..., commenca Alfonso.

-On est tous aussi coupables que toi. Personne n'avait prévu qu'elle nous trahirais. On lui as fait confiance trop vite, dit l'autre épéiste.

-On ne peux pas faire confiance..., marmona De Loco.

-Quoi, demanda Din.

-Non je n'ai rien dit...

-Quand même c'est assez bizarre qu'on ait fait confiance à une femme séparée en deux personnalités", admit Alfonso.

La porte s'ouvrit et OniMist, qui n'était que son bon coté cette fois, vint les voir.

"Veuillez me suivre, dit elle en les faisant sortir.

-Elle est où ton alter-ego, demanda Din.

-En bas. Je vais chercher les autres", répondit elle.

Ils sortirent du couloir et OniMist, suivie de Seifer et Maest, se rejoignit. Sans un mot, elle les conduisit à une salle de réunion qui ressemblait un peu à celle de la grande forteresse. Un jeune homme les attendait à l'intérieur.

"Ah OniMist te voila. Alors ce sont eux...Je suis désolé de la façon dont on vous as traités. Je suis Cristopher Tozander, deuxième admiral de l'armada", dit il.

Il portait un ensemble bleu nuit décoré de motifs vert aqua. Il devait avoir une vingtaine d'année. Ses yeux étaient noir et ses cheveux roux étaient tirés par en arrière.

"Qu'es-ce qui se passe, demanda Maest avec confusion.

-Je sais que vous détester notre contrée et c'est bien normal après toutes ces guerres provoqués par ceux qui règnaient avant, à cause de ces reliques. Mais nous ne sommes pas ceux qui ont attaquer, répondit Christopher.

-C'est l'oeuvre de qui alors? C'est quoi cette connerie, s'énerva Seifer.

-Nous sommes venus quand OniMist nous as contacter d'urgence. Malheureusement nous n'avons pas identifier ces navires et nous ignorons d'où ils viennent. Beaucoup de nos soldats ont péri là-bas. Si on aurais voulu attaquer là-bas, on ne s'en serait pas pris à des innocents et on aurais envoyé un avertissement. Notre nouvel empereur tentait de réconcilier les deux empires mais avec ce qui est arriver, ça n'arrangera pas les choses, expliqua le deuxième admiral.

-J'ai dit à mes collègues les raisons de votre venue et nous voulons vous proposer une entente, dit OniMist.

-Une entente, répéta De Loco.

-Nous vous prêterons les archives que nous avons. Elles serviront à détruire l'auteur de ce massacre pour que ce drame ne se répète plus. Nous faisons tout pour que cette haine entre nos deux pays disparaisse mais nous n'y arriverons pas si on laisse faire ces gens. Acceptez-vous de nous aider, demanda Christopher.

-On est venus ici pour ça. Pour moi c'est d'accord, répondit Din.

-Comme certaines reliques se trouvent à Arcadia c'est notre unique chance de rentrer, dit Alfonso.

-Je ne vois pas d'inconvénients à faire équipe, approuva Maest.

-Moi je ne viens pas. J'ai pas à suivre qui que ce soit..., dit Seifer.

-Tu n'en as pas assez de vivre seul? Tu n'as personne pour s'occuper de toi, tu ne voudrais pas vivre dans une famille adoptive? Mes parents sont morts quand j'étais jeune aussi mais j'ai trouvé des gens bien pour m'élever. Je sais que tu es débrouillard et que tu veux montrer que tu n'as besoin de personne mais je veux juste te poser une question. Si tes parents seraient encore ici qu'es-ce qu'ils voudraient que tu fasse? Vivre seul dans un environement dangereux même si tu es assez brave pour t'en sortir ou que tu vive dans une vraie maison en sécurité, demanda Din.

-...Je vais essayer..., répondit il.

-Et toi De Loco? Tu vois des objections à coopérer avec les taurans, demanda Maest.

-...J'aurais préféré ne jamais être mêlé à ça...Autant accepter pour terminer cette stupide quête..., soupira l'ingénieur.

-OniMist, tu va t'occuper d'aider ce groupe également, dit Christopher.

-Très bien, accepta la blonde.

-Bon bah on va dormir et demain on vous présenteras les autres admiraux avant de partir", dit celle aux cheveux bourgogne.

En sortant de la salle l'épéiste valuan demanda: " Et les deux gardes? Pourquoi ils ne t'on pas laisser entrer?

-Pff...Ça devait être des nouveaux...Quels connards. Ilsseront renvoyés demain", répondit OniMist.

Ils passèrent la nuit à Taurania et le lendemain, les archives leur ont été remises. Ils allèrent ensuite voir les autres admiraux.

"Taredala tu es occupée, demanda OniMist en cognant à la porte de la salle des machines.

-Je travaille là!", répondit l'autre admiral sans venir ouvrir.

La naine entra quand même, suivie du reste du groupe.

"J'aurais du verrouiller...", soupira celle nommée Taredala.

Elle était très grande. Ses cheveux étaient courts et noir et ses yeux sinistres étaient de la même couleur. Elle avait un bras de fer rouge énorme qui semblait lourd. Il y avait une sorte de poignée dessus. Son bras artificiel semblait ne pas pouvoir bouger automatiquement alors elle devait le controler de cette façon constament.

Juste en voyant le regard froid de l'admiral , les autres voyaient qu'ils la dérangeait.

"C'est Taredala Krown, troisième admiral de l'armada. C'est elle notre experte en technologie, dit OniMist.

-...Qui sont les deux admiraux d'Arcadia, demanda t'elle.

-Ces deux-là. Celui aux cheveux violets c'est un ingénieur aussi, répondit sa collègue.

-...Quel monde a la meilleure technologie?

-Hein?...Ça je l'ignore" répondit De Loco.

La troisième admiral Tauran eu une expression de dédain et retourna à son travail. OniMist leur dit qu'il valait mieux sortir.

"Qu'es-ce qui ne va pas avec elle, demanda Din.

-Elle est toujours comme ça avec tous le monde. Son but c'est d'être la meilleure et de battre tous le monde dans tous les domaines. Si elle juge que quelqun n'est pas assez fort pour elle, Taredala devient encore plus froide que d'habitude et s'en désintéresse complètement", soupira OniMist.

Le quatrième admiral, Kiser Redan, était moin pire que Taredala. Il avait des cheveux bruns et une apparence générale assez ordinaire. Seuls ses yeux étaient particuliers. Il avait un oeil noir et un oeil rouge. Il avait la réputation d'être très puissant. Kiser se battait avec une massue mais préfèrait utiliser la magie plutot que la force brute.

Le cinquième admiral, Derek Melrow, avait l'air d'être une personne à la bonne humeur habituelle. Il était venu se présenter en leur serrant la main. Il avait des cheveux brun foncé en bataille et des yeux gris. Sa tunique rouge était un peu plus simple que les habits des autres admiraux. Malgré son caractère très peu sérieux c'était un brillant stratégiste.

Après avoir rencontré les admiraux, ils dirent au revoir à Seifer en espèrant qu'il soit plus heureux. Puis il fallait commencer leur mission.

Din · l'Impétueux Sexe: Inscrit le: 20 Aoû 2005 Messages: 2078

Pour expliquer le nom des monstres que Alfonso envoie, j'ai pris le nom Kantor puisque c'est le nom du "Antonio 3" qu'on peux combattre à la grande forteresse. Et Kantor faisait plus un nom de race de monstre que Antonio.

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Chapitre 16: De retour aux cieux

"Vous êtes arrivés où en premier?, demanda OniMist.

-Au village Celestian, répondit Alfonso.

-Bon bah on y va. Vous allez bientôt retourner chez vous et nous pourrons voir les cieux d'Arcadia, annonça t'elle.

-Mais...Nos vaisseaux ont étés détruits..., dit De Loco.

-T'as dessiné des plans non? Je te vois faire depuis plusieurs jours. Tu arriveras surement à arranger ça, dit Din.

-Taredala et plusieurs autres ingénieurs vont venir aider également. Ils ne savent peut-être pas si votre technologie est semblable à la notre mais je garantis qu'ils sont compétents, ajouta la blonde.

-Allez! Tu ne voulais pas reconstruire ton vaisseau?!, s'emporta l'alter-ego.

-D'accord...D'accord..., dit il.

-Super! J'aurais jamais cru que je verrais Arcadia aussi vite!", dit Din en souriant.

La troisième admiral Tauran arriva. Elle semblait surtout curieuse de voir qui était le meilleur ingénieur. Elle alla observer les plans du Chameleon. Taredala ne voulait pas le montrer mais elle n'y comprenait rien. Ses assistants avaient déja du mal à comprendre ses propres plans alors ça risquait d'être pire pour eux. À son grand énervement, l'ingénieur valuan vint expliquer aux autres ce qu'il fallait faire. Elle avait écouter sans laisser paraitre son incompréhension du début. De Loco se tourna vers l'autre admiral qui lui jeta un regard noir avant d'aller se mettre au travail. La construction dura deux semaines.

"Wow...Alors c'est ça un vaisseau Valuan..., dit Din, impressionnée.

-Ils ne sont pas tous comme ça. C'est un modèle à part", dit De Loco sans se tourner vers l'épéiste.

Le groupe monta à bord. De Loco démarra le moteur puis le vaisseau commenca son ascension.

Le couple de Séraphims les observait de là où ils étaient alors ils ouvrirent le vortex reliant les deux mondes. Le Chameleon finit par émerger des profondeurs pour revenir dans le ciel.

''Alors?, demanda Din.

-Nous sommes dans l'océan central, dit De Loco.

-Vous voila à Arcadia", ajouta Alfonso.

Leur première destination était Valua. Durant le vol, ils virent la lumière d'un phare venant d'une île flottante.

"C'est l'île des marins. Le continent Valuan est au nord d'ici", dit Alfonso.

Le voyage avait durer une demie-journée. Le ciel s'assombrissait à vue d'oeil.

"La nuit arrive vite chez vous, remarqua Maest.

-Non on arrive à Valua. Les orages et tempêtes causés par le pouvoir de la lune jaune font que les nuages noirs couvrent le continent en permanence, expliqua le premier admiral valuan.

-C'est quoi ça???, demanda OniMist en pointant une sorte de plaque gigantesque vert foncé avec l'emblème de Valua au centre.

-La grande forteresse. Durant la guerre de Valua contre Nasr, le continent de la lune rouge, ça a été construit. L'armée Nasr l'a bombardé pendant des semaines sans succès", dit De Loco.

Un vaisseau valuan arriva.

"Admiral De Loco???, s'exclama un soldat par la radio.

-Et admiral Alfonso, ajouta celui-ci.

-Je vais demander à ce qu'on vous ouvre le passage!", dit l'homme.

Après une courte attente, la grande forteresse pivota. L'autre coté était muni de beaucoup de canons.

"Offensive et défensive, deux en un. La forteresse est invincible", vanta Alfonso en passant sa main dans sa mèche de cheveux.

Ils entrèrent tandis que l'entrée se refermait derrière eux. Devant eux se trouvait le palais impérial qui était aussi beau que celui de Taurania. Sur le coté droit, il y avait un quartier très éclairé.

"C'est le haut Valua, notre quartier. Ici vivent les nobles et les riches évidement et ça...c'est l'autre coté, le bas Valua...", indiqua pompeusement l'épéiste blond.

On aurait dit deux villes différentes. Le bas Valua était très mal éclairé et les lieux semblaient très négligés là-bas. Les autres se disaient que c'était injuste que les gens nobles vivent dans le luxe alors que d'autres étaient forcés de vivre dans la misère.

Le Chameleon s'arrêta à un port de la grande forteresse puis le groupe descendit en suivant les deux admiraux à l'intérieur. Après plusieurs minutes de marche, ils arrivèrent dans un grand couloir qui menait à une porte au fond. Ils entrèrent dans la salle de réunion où les autres s'étaient rassemblés.

"Alfonso, De Loco?!?! Qui sont ces gens?!, demanda Galcian encore sous le choc.

-Beaucoup de choses se sont passées..., dit De Loco.

-Vous êtes disparus pendant un mois et quelques semaines! Vous avez une explication?

-Nos vaisseaux se sont écrasés...sur une petite île. Ils étaient détruits et on n'avait rien pour reconstruire. C'est là-bas qu'on as rencontré ces naufragés qui nous ont aider à réparer l'un des vaisseaux et à partir, menti Alfonso.

-Vraiment? On nous as rapporter que vos vaisseaux ont sombrer!, contredit Ramirez.

-Ah et vous croyez qu'on s'en serait sortis vivants???", répliqua De Loco.

Ramirez n'eu rien à répondre. Galcian leur dit que malgré le fait que ce soit accidentel, leur écrasement à laisser Ixa'Taka libre. Vyse, un pirate de l'air des voleurs bleux avait aider la silvite à s'échapper de Valua. Pendant que les deux admiraux étaient absents, Vyse aurait également trouvé deux des cristaux de lunes.

"Vigoro et Belleza iront au continent Yafutoma et Ramirez est sur le point de diriger une attaque sur Nasrad, la capitale de Nasr. Comme les voleurs bleus ont obtenu le cristal de la lune verte par votre faute, vous irez au continent de glaçe, ordonna Galcian.

-Q...Quoi?!, s'exclama Alfonso.

-Et vous avez intérêt à revenir avec le cristal de la lune mauve sinon ne revenez jamais! Et qu'es-ce qu'ils vont faire ceux-là?, demanda t'il.

-...Ils pourraient nous accompagner comme...soldats. Ils savent tous se battre, proposa De Loco.

-Hum...Très bien...", dit Galcian.

Ils conclurent la réunion. Après être sortis et s'être assuré que personne ne l'entendrait, l'ingénieur demanda à son collègue: "Pourquoi tu lui as menti?

-Je ne pouvais pas vraiment lui dire qu'ils venaient d'un autre monde et expliquer ce qu'on a fait pendant tous ce temps.

-On dirais qu'on est dans le pétrin..., soupira Maest.

-Bon au début on cherchait des reliques puis on se retrouve à chercher des cristaux de lunes alors qu'on ignore c'est quoi..., commenca Din.

-J'ai hâte que ce soit fini", marmona De Loco en passant devant sans les regarder.

Les autres se regardèrent en haussant les épaules. Ils s'apprêtaient à aller préparer leur affaires quand un garde vint les voir.

"Admiral Alfonso! Les troupeaux de Kantors sont devenus incontrolables et l'un d'eux a du être tué parce qu'il est arrivé dans le bas Valua. Le commandant Galcian vous envoie avec une troupe de soldats pour voir la cause", dit il.

Le groupe dû aller à la sortie de la ville. Le tonerre grondait mais au moin il ne pleuvait pas.

"C'est quoi des Kantors?, chuchotta Din
-Des monstres vivants en troupeaux dans les déserts et dans les plaines de Valua. Je les fait capturés et dressés pour devenir mes bêtes de combat personnelles", répondit Alfonso à voix basse.

Ils entreprirent une longue marche silencieuse sur les sentiers rocheux.

Din · l'Impétueux Sexe: Inscrit le: 20 Aoû 2005 Messages: 2078

Chapitre 17: Les fils du controle

Arrivés là-bas, leurs yeux s'écartillèrent de surprise et de peur. Les monstres étaient énormes et avaient deux grandes cornes qui étaient des armes mortelles. Le troupeau s'agitait tandis que des dresseurs,déja sur place, tentaient de le maîtriser en vain. De Loco remarqua soudain ce qui semblait causer la furie des créatures sauvages. Sans avertissements, il alla là-bas en vitesse.

"Hey! Qu'es-ce que tu fais?!", s'exclama Maest.

Il passa entre les Kantors en évitant de peu leurs cornes. Un garçon était agenouillé sur le sol. Avec un bras il tenait contre lui un ourson en peluche et tentait de se protéger avec l'autre.

"Ne reste pas là, tu va te faire tuer là-dedans!!!", cria Din.

De Loco prit le bras libre de l'enfant et l'emmena. Din, Maest, Alfonso et OniMist fonçèrent à l'intérieur. Maest poussa l'ingénieur, lui évitant un coup de corne mortel tandis que les trois autres attaquaient.

"On ne pourras pas les battre, ils sont trop nombreux! Faut sortir d'ici!", dit OniMist.

Après un dangereux parcours, ils réussirent à sortir en vie sans trop de blessures.

"Pourquoi vous y êtes allez aussi?!, demanda l'ingénieur déconcerté.

-Probablement pour la même raison qui t'a poussé à sauver ce garçon", répondit Maest.

Il lâcha le bras de l'enfant qui avait l'air étonné. Il devait avoir neuf ans. Il avait les cheveux blond et les yeux verts foncé. Il portait une longue veste blanche avec des motifs vert. Dessous il portait un haut de couleur vert. On voyait les manches courtes dépasser de sa veste. Son pantalon était brun pâle et il portait des souliers noir et jaune. Il avait l'air de venir du haut Valua.

"Qu'es-ce que tu faisais là?", demanda Alfonso.

Il ne répondit pas. Soudain un homme arriva en courant. Il avait l'air furieux.

"Qu'es-ce qui t'as pris de venir ici?! Amiral Alfonso veuillez l'excuser...", commença t'il. Il se tourna vers le garçon en lui lançant un regard noir avant d'ajouter:"...je vais m'assurer que ça ne se reproduise plus..."
L'homme empoigna le bras de son fils fortement avant de l'entrainer vers la ville.

"Heu devrait-on aller préparer nos affaires?, proposa Alfonso.

-Et le troupeau?, demanda Din.

-Bah ils vont s'arranger c'est pas notre problème", répondit OniMist.

Le groupe repartit. Après avoir préparer leur affaires, il fallait attendre que le Chaméléon soit modifié. En attendant, De Loco se redemandait encore pourquoi il avait sauvé le garçon. Il avait également un mauvais pressentiment.

"Pourquoi je serais inquiet. Je ne connais même pas ce gamin", pensa t'il.

Mais le mauvais pressentiment persistait. Il en eu assez et se leva.

"Où va-tu?, demanda Alfonso.

-J'ai juste quelque chose à faire je vais revenir", répondit l'autre l'amiral en partant.

Il marchait sans trop savoir où il allait. Il leva la tête et vit plus loin le père du garçon. L'homme rentrait chez lui.

"Je ne sais pas pourquoi mais il m'énerve...Il me rapelle...", pensa De Loco.

Il ne préfèrait pas y penser. Le mauvais pressentiment le hantait encore. Et qu'es-ce que ce gamin faisait là-bas? Il se dirigea vers la maison et cogna. Pas de réponse. Il cogna de nouveau mais rien. Après avoir cogner plusieurs fois, l'homme vint enfin lui ouvrir.

"Amiral De Loco...C'est pourquoi?", demanda t'il.

Maintenant qu'il le voyait de plus près, l'admiral pouvait sentir une odeur qu'il connaissait trop bien. Son mauvais pressentiment allait surement être justifié.

"Je peux voir le garçon? Je voudrais savoir pourquoi il se trouvait là-bas, dit il.

-Il est muet alors il ne pourras pas répondre! J'ai dit qu'il ne recommencerais plus, ce n'est pas suffisant?!, demanda l'homme qui semblait nerveux tout d'un coup.

-Alors il n'aura qu'a écrire, répliqua De Loco.

-Il ne sais pas écrire!

-Tiens? Un garçon du haut Valua qui ne sais pas écrire? J'ai jamais vu ça moi.

-Pourquoi vous tenez à voir ce gamin?!

-C'est un ordre! Je ne suis pas d'un rang élevé mais je suis quand même un amiral de l'armada impériale! Montrez un peu peu plus de respect!'', dit il.

L'homme le fit entrer à contre-coeur.

"Vous êtes...?,demanda l'amiral.

-Séwilan Lifegiver..."

Il lui dit d'attendre pendant qu'il allait chercher le garçon. De Loco trouvait la maison sinistre. Malgré sa splendeur semblable à celle des autres maisons, elle lui faisait froid dans le dos. Séwilan revint avec son fils qui avait les yeux rougis et quelques bleus. Il ne se souvenait pas que l'enfant avait ces marques lorsqu'il était sortit de l'enclos à Kantors. De Loco alla dans la pièce suivante avec l'enfant muet tandis que Séwilan marmonnait qu'il perdait son temps. Ils étaient dans la cuisine.

"Je vais te poser des questions. Fait juste faire des signes de la tête pour répondre. Es-ce que tu t'es fait ces bleus là-bas?", demanda t'il.

Le garçon hocha la tête mais il se rendait compte que c'était faux.

"Ton père ne peux pas entendre ni voir ce qui se dit ici. Es-ce que ces blessures viennent de là-bas?".

Le jeune muet baissa la tête puis leva la main au dessus de son ourson qu'il tenait encore. Des rayons, comme des fils lumineux, sortirent de ses doigts pour se connecter au jouet.

"Ne dites pas ça à mon père. dit une voix qui semblait venir de la peluche.

-Qu'es-ce que...?!

-Je m'apelle Yota. Comme mon père l'a dit, je suis muet mais il ignore à propos de...ça...

-Quoi?

-J'ai une espèce de...don. Je suis télékinéziste et je peux controler des objets inanimés. Étrangement, je suis capable de parler par l'intermédiaire de mon ours en peluche. J'ai essayer avec d'autre objets mais ça ne fonctionne qu'avec ça.

-Donc tu peux me répondre. Pourquoi es-tu allé là-bas?

-Je suis désolé. J'ai voulu essayer de controler quelque chose de vivant mais ça n'as pas marcher...

-Et tes blessures?

-...

-C'est...lui n'es-ce pas?", demanda t'il.

Yota hocha la tête. L'odeur qu'il avait senti tout à l'heure remplissait aussi la cuisine. C'était celle de l'alcool. Il demanda pourquoi il n'avait pas appris à écrire. Yota n'avait jamais pu aller à l'école comme les autres de son âge et sa mère était décèdée. De Loco baissa la tête en réfléchissant. Il demanda à quelle heure le père de Yota allait dormir.

"Minuit, répondit il.

-Prépare tes affaires pour cette heure.

-Hein???

-Sauf si tu veux rester", dit il.

Le regard de Yota lui donnait déja sa réponse. L'amiral repartit rejoindre les autres. Arrivé là-bas, il leur expliqua ce qui s'était passé.

"Quoi?! Ça s'apelle un enlèvement!, s'offusqua Alfonso.

-Non pas si il est d'accord et si il est maltraité, l'emmener c'est la meilleure solution, répliqua OniMist.

-Je suis d'accord avec elle", approuva Maest.

Le groupe se mit d'accord et chacun alla se coucher. De Loco fixait le plafond sans trouver le sommeil.

"Yota...Il me fait penser à...", pensa t'il.

Il balaya cette pensée. Sa main se posa sur son bras gaucheé Il releva la manche et passa ses doigts sur l'avant-bras le regarder. Il se résigna à poser les yeux dessus quand il toucha une énorme marque rouge profonde. Elle commençait au dessus du poignet et s'arrêtait à son épaule. Il ferma les yeux en descendant sa manche. Ses pensées furent imterrompues lorsqu'il jeta un oeil à l'horloge. Il était onze heures cinquante. Les autres se réveillèrent puis ils sortirent en silence.

Din · l'Impétueux Sexe: Inscrit le: 20 Aoû 2005 Messages: 2078

Chapitre 18: Agents doubles

Yota avait l'oreille collée contre la porte. Il entendit les pas de son père qui était ivre. Un bruit de verre cassé se fit entendre. Il a dû laisser tomber sa bouteille. Puis les pas s'approchaient de la porte. Son coeur battait et Yota tentait tant bien que mal de se calmer.

À son soulagement, les pas s'éloignaient et il entendit le son d'une porte s'ouvrir puis se refermer. Sans bruits, il s'approcha de la fenêtre et attendit. Après quelques minutes, les ronflements sonores de son père se faisaient entendre mais il ne voyait personne.

Soudain il vit les deux amiraux et d'autres personnes arriver. Silencieusement, Yota sortit de sa chambre et descendit les escaliers. Soudain, son teint devint blanc lorsqu'il entendit du bruit.

"Il va surement me tuer...", pensa t'il.

Il fut soulagé de se rendre compte qu'il avait seulement bouger dans son sommeil. Yota arriva au rez-de-chaussé puis sortit discretement. Il remarqua que c'était ces gens de l'autre jour. Étaient-ils au courant pour son don?

"J'ai du leur expliquer ce qui s'est passé", dit De Loco.

Alfonso, qui le connaissait depuis longtemps, était encore plus étonné que les autres de l'entendre. Il se montrait habituellement sans-coeur et cruel alors c'était dur à croire qu'il voulait aider quelqun.

"On fait quoi? Même si il n'est pas chez lui, il peux être retrouvé n'importe quand, dit Alfonso.

-Il a raison....On peux peut-être le faire sortir de Valua. Vous pouvez demander à ce que la grande forteresse ouvre non?, demanda Maest.

-Oui mais qu'es-ce qu'on va faire après? On ne peux pas l'abandonner quelque part et je ne pense pas qu'on puisse l'emmener avec nous, dit OniMist.

-Pourquoi pas?, demanda Yota en utilisant son pouvoir.

-C'est trop dangereux et on ne veux pas t'entrainer dans quelque où tu n'es pas impliqué, répondit Din.

-Et qu'es-ce que vous faites exactement?

-Es-ce qu'on devrais le lui dire?, hésita Maest.

-Vous êtes bien au courant pour mes pouvoirs!", répliqua Yota.

Ils lui expliquèrent donc les évènements pendant qu'ils se rendaient au Chaméléon.

"Trouver les cristaux de lune et les reliques? Votre commandant est au courant de votre autre quête?

-Non c'est pour ça qu'il est très important de ne rien dire, répondit Alfonso.

-Je communique avec vous seulement parce que vous êtes les seuls à savoir au sujet de mon don alors je ne dirais rien à personne d'autre", promis Yota.

Le groupe hésitait beaucoup à ce que Yota vienne. Il était si jeune. Déja que cette quête était dangereuse pour eux ce n'était pas mieux pour un enfant. Il leur dit qu'il leur devait bien ça pour l'avoir aidé mais De Loco répliqua qu'il ne leur devait rien. Finalement, ils acceptèrent que Yota vienne avec eux.

"Chercher des reliques entre la quête des cristaux de lunes est assez risqué, dit Alfonso.

-Hey c'est notre mission alors tu la boucle blondinet!, répliqua OniMist.

-Si on se fait prendre..., commença Alfonso.

-On est tous morts", termina De Loco.

Maintenant que les modifications du vaisseau étaient terminées, ils pouvaient partir en direction du continent de glaçe, Glacia.

Din · l'Impétueux Sexe: Inscrit le: 20 Aoû 2005 Messages: 2078

Chapitre 19: Sous la lune mauve

Le continent de glaçe se trouvait au sud de l'océan Sud. Le vaisseau avait été amélioré et le moteur renforcé de nouveau. Même si ils rencontreraient encore le tricyclone, ils devraient pouvoir y résister. Ils pouvaient également passer dans des glaciers sans problèmes.

"Au fait il n'y avait pas une relique à Valua?, se rappella Alfonso.

-Ah ouais! C'est des lentilles qui peuvent nous faire voir ce qui est invisible, des fantômes et qui donnerait la vision aux aveugles, lut Maest dans une des archives.

-Ne me dit pas qu'on va devoir retourner là-bas!, se plaignit OniMist.

-.....Pas besoin...", répondit De Loco.

C'était à contre-coeur mais il fallait bien que les autres soient au courant sinon ils chercheraient pour rien. Il retira son scaphandre et retira ses lunettes. Il avait des yeux en amande assez petits. Ils étaient violet foncé. C'était assez bizarre de le voir pour la première fois sans ses lunettes. Le groupe vit qu'il était aveugle. De Loco remis ses lunettes et son scaphandre avant de manquer d'air.

"Et ça t'en parle jamais?, demanda Alfonso.

-Je ne vois pas pourquoi j'aurais dû le dire.

-Pour le scaphandre aussi?

-Tu t'en moque bien d'habitude", marmona l'autre amiral.

Il semblait ne plus vouloir en parler alors les autres gardèrent le silence. Il avait surement modifier ces lentilles pour en faire des lunettes et préfèrait sans doute que personne soit au courant de ses maux physiques. Pour changer le sujet il dit qu'ils arrivaient.

"C'est un endroit complètement mort! Il y a juste de la glaçe et encore de la glaçe!, dit Din.

-Le cristal de la lune mauve est sensé être caché dans les ruines de glaçe. C'est une cité ancienne nommée Glacia. Elle doit être cachée quelque part dans ce continent", di Alfonso.

Ils virent un lac gelé et entreprirent de descendre à l'intérieur. La paroi du Chaméléon était assez solide pour passer à travers la glaçe. Au fond on pouvait distinguer des formes étranges. Le vaisseau s'enfonça à l'intérieur du continent avant de s'arrêter. Le groupe descendit. Ils remarquèrent qu'ils étaient dans un couloir bien sculté dans la glaçe.

"Tu ne veux pas rester Yota? On reviendra et ce sera surement plus sûr", proposa Maest.

L'enfant fit un signe négatif de la tête. Il n'était pas arrogant ni impoli comme Seifer mais il était aussi tête dure que lui. Il y avait une porte au fond du couloir donnant sur une grande salle. Une grosse pierre de glaçe entourée d'une lumière bleue se trouvait au centre. En face, à gauche et à droite se trouvaient trois portes fermées.

"Visiteurs de Glacia...Répondez à la question et ouvrez votre propre voie.

-C'était quoi ça?! On aurait dit que ça venait de la pierre!, s'exclama Din.

-Je suppose qu'on doit résoudre une sorte d'énigme, dit OniMist.

-La lune mauve possède le pouvoir de...?, demanda la pierre.

-La glaçe", répondit l'épéiste valuan.

La porte de gauche s'ouvrit. C'était une sorte de pente en colimaçon faite de glaçe. Alfonso s'avança pour voir où ça menait mais il glissa.

"AAAAAAH!!!

-Alfonso!, cria OniMist.

-Bon bah on le suit!, s'exclama Din.

-Hein?! Comment?!...", commença De Loco.

Din fonça en l'entrainant. Maest, Yota et OniMist dûrent les suivre. Après plusieurs tournants ils atterrirent dans un autre couloir où Alfonso se trouvait.

"Alors ça va?, demanda Din.

-L'atterrisage faisait assez mal...", répondit Alfonso.

Une salle identique à la précédente les attendait. La pierre du milieu, cependant, brillait d'une lumière jaune.

"Visiteurs de Glacia...Répondez à la question et ouvrez votre propre voie.

-Encore?..., soupira De Loco.

-Quelles sont les principales valeurs du peuple de Glacia?

-Alfonso et De Loco sont les seuls à pouvoir répondre je crois, dit Maest.

-Je me rapelle juste qu'il y a la volonté..., dit Alfonso.

-...Et l'esprit", ajouta l'autre amiral.

La seconde porte s'ouvrir et le groupe vit que c'était pareil comme la précédente. Din s'exclama joyeusement qu'elle aimait cet endroit avant de foncer dans le passage.

OniMist haussa les épaules avant de la rejoindre suivie des garçons. Ils atterrirent dans...un couloir indentique aux deux autres et la salle suivante était pareille aussi sauf qu'elle brillait d'une lumière rouge.

"Ah là ça devient ridicule!, s'énerva De Loco tandis que de l'air fuyait un peu de son scaphandre.

-Calme toi. Pas la peine de s'énerver pour ça, dit Alfonso qui savait ce qui risquait de se passer.

-Faut savoir garder la tête froide...Hé je viens de faire un jeu de mot!...Hum pardon..., dit Maest un peu gêné.

-Ça lui arrive des fois, faites pas attention, dit Din en gardant son éternel sourire.

-Bon il est temps de répondre à une autre question alors..., dit Alfonso avec lassitude.

-Visiteurs de Glacia...Répondez à la dernière question et ouvrez votre propre voie.

-Ah, pas trop trop!, dit OniMist.

-Chut..., souffla le mage.

-Le symbole de Glacia cache un certain chiffre. Quel est-il?

-Là je ne sais pas..., dit Alfonso.

-D'habitude je sais bien répondre aux questions mais Grégorio est meilleur que moi..., dit l'ingénieur.

-On s'en fout! Faut bien que quelqun essaye!, dit l'amiral Tauran.

-Euh....Peut-être...deux?", dit Yota avec hésitation.

La porte s'ouvrit et il se dit qu'il avait eu de la chance de trouver la bonne réponse par hasard.

Din · l'Impétueux Sexe: Inscrit le: 20 Aoû 2005 Messages: 2078

Un autre chapitre court désolé(bon rendu à ça, on peux pas vraiment appeller ça un chapitre). Je vais essayer de me rattraper pour les prochains.

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Chapitre 20: Le pouvoir des reliques

Malheureusement pour le groupe, il y avait encore une pente de glaçe. Après un atterissage raide, ils se retrouvèrent dans un autre couloir.

"Bon ça doit être la dernière porte", dit Din.

Ils se retrouvèrent dans une salle où le brouillard était très épais. Ils réalisèrent que c'était en fait les nuages inférieurs.

"Je n'arrive même pas à voir ce qu'il y a devant moi, se plaignit Alfonso.

-Même l'air est glaçé..., dit OniMist.

-On va geler ici combien de temps?!, dit l'alter-ego en se frottant les bras.

-Les nuages se dissipent un peu on dirait!", remarqua Yota.

Glacia était une ville impressionante. Les batiments étaient rattachés au plafond comme des stalagtites.

"Il parait que les glaçites étaient des mages très puissants et qu'ils ont utiliser les pouvoirs de la lune mauve pour construire cette cité. Comme ces batiments sont sous le continents, ils n'ont pas été affectés par les pluies de la destruction, dit De Loco.

-Mais si les lieux n'ont pas été détruits, le peuple glaçite devrait se trouver ici non?, demanda Maest.

-Non, ils ont disparus. Personne ne sait ce qui leur est arrivé , répondit Alfonso.

-Je me demande si la dague qu'on a trouvé appartenait à un glaçite..., dit Din avec un air songeur.

-Ça m'étonnerait vu qu'elle se trouvait dans l'autre monde, dit l'autre épéiste.

-Dans ce temps là, vos continents ne se trouvaient pas dans le ciel alors ça se peut, répliqua OniMist.

-C'est vrai mais rien est sur. Je me demande si ils sont restés dans votre monde, dit De Loco.

-Dites, je ne crois pas que ça va nous servir à grand chose de rester ici à rien faire", dit le mage.

Le groupe alla sur la plate-forme flottante qui se trouvait devant eux. Après une courte descente ils se retrouvèrent sur une sorte de long trottoir de glaçe.

"C'est quoi ce bruit?", demanda Din soudainement.

Ils virent que depuis la disparition de la civilisation mauve ,les monstres avaient élu domicile dans ces lieux. C'était une sorte d'énorme ver bleu entouré de glaçe. Le monstre se lança sur eux en montrant des dents fines mais tranchantes.

Alfonso fit un saut de coté pour esquiver et sortit sa rapière. Din prit son épée, OniMist son sceptre et Maest se mit à l'écart pour pouvoir utiliser la magie. De Loco remarqua qu'il n'avait plus de bombes.

"Din! Donne-moi la dague!", dit il.

Elle la lui lança. Même si il n'était pas habitué de combattre, il n'avait pas le choix d'apprendre également. Le ver décida de s'en prendre à Yota. Celui-ci tenta d'utiliser ses fils mais comme pour les Kantors, ça ne faisait que rendre le monstre enragé.

Maest lança une boule de feu sur l'ennemi. Ce n'était pas un sort puissant mais il avait trouvé son point faible. C'est là que Din eu une idée.

"Je crois que c'est le temps de voir ce que ce médaillon peut faire!", dit elle en le sortant.

Une lueur entoura le bijou tandis qu'une déflagration sortit du symbole au centre. Après ça, tous ce qui restait du monstre était un amas de cendre. Les reliques étaient très puissantes...

"Wow...À coté ma boule de feu c'était rien, dit Maest.

-Je me demande si toutes les reliques sont comme ça", dit le mauvais coté d'OniMist avec un étrange regard.

Yota se demandait si il avait bien fait de venir. Il aurait voulu être plus fort. Après un long parcours et plusieurs autres combats, ils arrivèrent à une grande porte.

"Ça doit être là que se trouve le cristal, supposa Alfonso.

-J'espère parce que je ne veux pas qu'on ai fait tous ça pour un rien", marmona l'autre amiral.

Din · l'Impétueux Sexe: Inscrit le: 20 Aoû 2005 Messages: 2078

le chapitre est pas très long mais il est moin pire que l'autre au moin. Mes chapitres sont souvent courts parce que j'enlève des trucs et je modifie un peu parce que dans mes cahiers ils sont un peu plus longs mais ce que j'ai enlevé sont les bouts inutiles.

J'ai changé des trucs en essayant d'améliorer certaines scènes mais ça raccourcit le texte. Mais j'arrive à faire des chapitres plus long au fur et à mesure. Je vais continuer à transcrire sur internet quand je vais revenir ce soir.

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Chapitre 21: La salle mortuaire

La porte menait à une très grande salle. Ils avaient beau regarder partout mais il n'y avait pas de cristal. Alfonso remarqua que son collègue atteignait les limites de sa patience.

"Dites-moi que je rêve! Maintenant qu'on est là on n'est pas pour revenir sans le cristal! Ne me dites pas qu'on est venus ici pour rien!!!", s'écriait-il.

Son scaphandre fuyait de nouveau tandis que les autres le regardait avec un mélange de peur et d'incompréhension.

"Qu'es-ce qu'il lui arrive?, s'inquiéta Yota.

-Ça recommence...", soupira Alfonso.

Puis De Loco retomba inconscient.

"Hey! Ça va???, dit Din tandis qu'elle le secouait un peu.

-On dirait qu'il a ce genre de réaction dans les moments de stresse et de colère intense. Je ne sais pas ce qu'il a exactement mais il ne va pas tarder à se réveiller", répondit Alfonso.

Après quelques secondes, De Loco se releva. Il semblait un peu mal à l'aise et marmona qu'il s'était un peu emporté.

"Si votre commandant nous as envoyés ici c'est que le cristal doit être là. En tout cas si ce n'est pas la bonne salle je me demande où on es, dit OniMist en regardant les alentours.

-En tout cas à la grandeur de la pièce, ça doit bien servir à quelque chose", dit Maest.

Ils partirent chacun de leur coté pour voir les lieux. Ils entendirent Din crier.

"Qu'es-ce qu'il y a ?! , demanda Maest en venant la rejoindre.

- Ils sont morts...", souffla t'elle en montrant une série de colones de glaçe.

Il y avait des corps emprisonnés dans ces étranges tombeaux de glaçe. Alfonso emmena Yota un peu plus loin vu que ce dernier n'était pas vraiment habitué de voir des morts.

Maest remarqua une plaque sur le sol sur lequel était gravé des mots dans le language glaçite.

"Je me demande ce que ça veux dire..., dit Maest.

-Ça doit être le nom de l'endroit peut-être. En tout cas c'est évident qu'on se trouve dans une salle mortuaire", dit De Loco.

Il sursauta soudainement en voyant des gens dans la salle. En regardant comme il faut il remarqua que c'était ceux enfermés dans les colones de glaçe.

"Hey ça va?, demanda OniMist.

-Faudrait partir d'ici..., souffla De Loco.

-Hein? Pourquoi?, demanda Maest.

-Vous ne les voyez pas?

-On ne voit pas quoi?, demanda Din.

-Attend tu ne voit tout de même pas des fantômes, dit Maest.

-C'est possible. C'est un des pouvoirs de ces lentilles, dit OniMist.

-De toute façon, on ne trouvera pas le cristal ici c'est sur alors ça ne fait rien de quitter cette salle", dit Din.

Ils firent demi-tour pour rejoindre Alfonso et Yota. L'autre amiral valuan se tourna une première fois vers les colones de glaçe et s'arrêta soudainement.

"T'en vois un autre?, s'inquièta le mage.

-Si les lieux sont hantés moi je ne reste pas là!, dit Alfonso, qui avait entendu ce qu'ils avaient dit avant.

-C'est pas ça. J'ai cru voir cette femme bouger dans ce tombeau, dit De Loco.

-T'es sur que ce n'est pas ton imagination?, demanda Din.

-Non! Regarde!"

Les autres virent qu'il ne s'était pas trompé. La jeune femme dans la colone de glaçe qu'il pointait, bougea faiblement le bras avant de s'arrêter de nouveau. Ils remarquèrent que des tuyaux étaient connectés à chaque tombeau.

On voyait passer de la lumière dans ceux rattachés à celui de la glaçite. Les autres étaient tous éteints. La lumière servait surement à lui fournir l'énergie qui la gardait en vie. Par contre l'énergie semblait faiblir.

Si cette sorte de lumière s'arrêterait de passer, la glaçite finirait par mourir. Comme l'énergie diminuait à vue d'oeil, la seule solution était de la faire sortir de là.

Maest fonça sur le tombeau et donna une série de coups de poings et de pieds tandis qu'Alfonso utilisait sa rapière. Din faisait fondre un autre coté avec le pouvoir de son médaillon. Elle l'avait utilisé à tous les combats et l'objet était d'une grande utilité. De Loco donnait des coups de dague et OniMist utilisait son sceptre.

Finalement, la glaçe se brisa et la glaçite fut attrapée par Alfonso.

"Elle est encore en vie, dit Din en soupirant de soulagement.

-Mais pourquoi elle a été enfermée ici alors qu'il n'y as que des morts dans cette salle?, demanda le mage.

-Elle va surement pouvoir nous répondre quand elle aura reprit conscience, répondit De Loco.

-Mais on ne devrait peut-être pas rester ici et aussi Yota doit nous attendre", dit Din.

Ils emmenèrent la glaçite et expliquèrent à Yota ce qui s'était passé pendant qu'ils quittaient la salle. Après plusieurs combats, rendus faciles grâce à la relique, ils retournèrent au Chaméléon.

Pendant ce temps, trois personnes les observait.

"Ils ont déja plusieurs reliques sur eux et avec le pouvoir de ce médaillon seul, le groupe est rendu plus fort..., dit l'un d'eux.

-À ta place je ne m'inquièterais pas pour ça, dit une autre.

-Profitez bien des pouvoirs de ces reliques pendant que vous le pouvez encore...", dit le troisième avec un sourire en coin.

Din · l'Impétueux Sexe: Inscrit le: 20 Aoû 2005 Messages: 2078

Bon j'ai enfin terminé ce chapitre je vais surement prendre moin de temps à écrire les autres. Si le spoil dans ce chapitre est trop facile à deviner, désolé, j'ai fait ce que j'ai pu pour écrire cette partie.

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Chapitre 22: La dernière glaçite

Ils décidèrent d'arrêter à Esperanza, vu que c'était la ville la proche. Les habitants ne cachaient pas leur surprise de voir un vaisseau de l'armada arriver. L'empire Valuan avait délaissé cette ville depuis longtemps. Cet endroit qui autrefois était plein de vie et d'espoir n'était plus qu'une île où vivaient des anciens marins et soldats valuans qui avaient abandonnés leurs rêves. Un grand récif de nuage noir se trouvait près d'Esperanza. On disait que de l'autre coté se trouverait un continent.

Beaucoup de marins avaient essayer de le traverser pour le découvrir. Mais tous avaient échoué. Il était impossible de passer dans le récif noir. Après ça, l'espoir des habitants d'Esperanza avait disparu.

L'auberge où le groupe entra n'avait que deux chambre et n'était pas très acceuillant non plus. Depuis le temps qu'il n'avait plus de visiteurs, l'aubergiste n'avait pas nettoyer les lieux. Une épaisse couche de poussière couvrait les meubles et les lits mais ils n'avaient pas trop le choix. Alfonso déposa la glaçite inconsciente sur le lit.

"Quand elle se réveillera peut-être qu'on en sauras plus sur son peuple et sur leur technologie, dit De Loco.

-Pour ce qui est de la raison de leur disparition je crois que j'ai mon idée..., dit Alfonso.

-Ah bon, demanda Din.

-Avant nos continents se trouvaient sur l'océan comme les votre mais le peuple glaçite devait quand même exister dans votre monde, dit-il.

-Tu pense que la majorité de cette civilisation est restée chez nous, demanda Maest.

-Exactement, répondit Alfonso.

-C'est vrai que c'est une des possibilités", dit De Loco.

La jeune femme entendait près d'elle des voix qui lui étaient inconnues. Le climat avait fortement changer tout d'un coup. Il y avait une chaleur étouffante qui lui donnait mal à la tête. Son corp dégelé n'était plus engourdit et elle pouvait à présent sentir ses membres. Elle entrouvit les yeux sans bouger pour au moin voir qui était ces gens qu'elle entendait parler.

La glaçite était dans un décor totalement différent. Il y avait deux femmes très très petites qui semblaient être jumelles, un jeune blond avec des habits de noble, un adolescent aux cheveux chatains, une jeune fille à l'allure peu féminine, un adorable enfant blond qui tenait un ours en peluche et un homme aux cheveux violets qui portait un étrange dome de verre qui recouvrait sa tête.

"Qui sont ces gens?...,pensa t'elle avec confusion.

-Ah! Elle se réveille!", remarqua le garçon manqué du groupe.

La glaçite s'asseya pour faire face au groupe. Elle avait de long cheveux violets, des yeux en amandes de la même couleur que ses cheveux. Elle devait avoir vingt-neuf ans. Son teint était très pâle. La jeune femme était assez belle. Elle avait une expression d'inquiétude et de peur.

"Où...Où suis-je?", demanda t'elle.

Sa voix était peu assurée mais douce.

"À Esperanza. Ne craignez rien on ne vous feras pas de mal, dit la naine blonde.

-Qui êtes vous?", demanda l'étrangère, un peu plus rassurée.

Ils se présentèrent et la glaçite vit que ces gens n'étaient pas hostiles au contraire. Elle sut que OniMist était en fait la même personne, ce qui la surprit beaucoup au début. Leurs noms ne lui étaient pas communs. L'un d'eux avait un nom un peu plus différent des autres.

"De Loco...?C'est votre prénom, demanda t'elle.

-Non...Mon prénom c'est Kawell. Tous le monde m'apelle De Loco soit parce qu'ils l'oublie, s'en moquent ou parce qu'ils prononcent mal. Et tu es...?

-Pardon. Je m'apelle Krystal Tears.

- On aimerais aussi savoir...Comment es-ce que tu as été enfermée dans...ce tombeau, demanda Maest.

-A...Attendez! En quelle année sommes nous!", dit Krystal avec une soudaine panique.

Elle se tourna vers le mur où était accroché un calendrier et laissa échapper une exclamation.

"Ça va, s'inquiéta Din.

-...Vingt-cinq ans...déja...Oh non...", souffla la glaçite.

Voyant la confusion générale, Krystal se dit qu'il valait mieux leur expliquer.

"Mais c'est une longue histoire..., dit elle.

-On va l'écouter jusqu'au bout, répondit Maest.

-Très bien...Ces tombeaux sont faits pour y mettre des gens morts mais ils sont utilisés également pour y mettre des vivants. Quand on es à l'intérieur on est plongés dans une sorte de sommeil. Il y a un tube nous fournissant l'énergie nécessaire pour vivre. C'est un moyen pour nous de vivre pendant très longtemps parce qu'on ne vieillit pas à l'intérieur.

-Tu t'es enfermée là-dedans toute seule, demanda OniMist.

- Non... Il y a vingt-neuf ans j'ai quitter Glacia parce qu'il n'y avais déja plus personne. J'était la seule glaçite. Dans une autre contrée j'ai rencontrer un homme. On as finit par se marier et on as eu un fils. C'est là que tout à changer. J'ai découvert qu'il ne s'intéressait qu'au fait que j'était membre de la civilisation mauve et comme notre enfant n'était qu'à moitié glaçite, il ne l'intéressait pas. J'ai mis trop de temps à m'en rendre compte. Un jour je l'ai surpris à le frapper. J'ai pris mon fils et je suis partie pour retourner à Glacia. Mais un jour son près a finit par nous retrouver. C'est lui qui m'a enfermer. Vingt-cinq ans on passé depuis.

-Et tu ne sais pas ce qui lui est arrivé, demanda Alfonso.

-Je ne sais pas...Mais je refuse de croire qu'il est mort. Il est en vie mais j'ignore où il est...

-Quel âge il avait? On peux t'aider si tu veux, proposa l'épéiste aux cheveux rouge.

-Il avait quatre ans. Et ça ne vous dérange pas? Vous n'avez pas l'air d'un groupe de voyageur ordinaire et si vous devez faire quelque chose d'important je ne veux pas être un fardeau, dit Krystal.

-Nous avons une mission mais c'est ce qui nous pousse à voyager un peu partout alors si tu nous suis tu auras une chance de le retrouver, dit Maest.

-C'est vrai. Dans ce cas je vais vous aider également dans votre quête. Je n'ai pas d'armes mais je peux utliser la magie, dit la glaçite.

-Ca va aller alors. Tous le monde est d'accord?", demanda le mage.

Les autres approuvèrent et ils lui expliquèrent ce qu'ils faisaient.

"Vous chercher des reliques et des cristaux de lunes? Mon frère jumeau, Ezekiel faisait partit de ceux qui cherchaient les reliques la première fois, dit Krystal.

-Quoi! Mais c'était il y a des millénaires, s'exclama De Loco.

-Avec nos tombeaux on arrive à vivre depuis tout ce temps, dit elle.

-Wow..., souffla Din.

-Pour ce qui est des cristaux de lunes...C'est pour chercher celui de la lune mauve que vous êtes venu à Glacia, demanda Krystal.

-Exact. Es-ce que tu peux nous dire où il se trouve, demanda Alfonso.

-Non...Tout ce que je peux dire c'est qu'il est attaché à notre Giga, Plergoth et même moi j'ignore où il se trouve, répondit elle.

-Je vois..., soupira t'il avec déception.

-Je crois qu'il vaudrait mieux en parler demain. Il fait déja nuit", remarqua Yota.

Maest, Alfonso, De Loco et Yota se dirigèrent vers l'autre chambre.

Din · l'Impétueux Sexe: Inscrit le: 20 Aoû 2005 Messages: 2078

Chapitre 23: Dilemme

Yota s'était réveillé assez tôt. Il sursauta en voyant De Loco assit dans un coin de la pièce. Comme ils n'y avait que deux chambres les filles dormaient dans l'une et eux dans l'autre. Le jeune garçon ne savait pas trop si il était réveillé. Il s'approcha et vit que l'amiral dormait. Yota quitta la chambre après avoir déposé une couverture sur lui.

Il vit l'aubergiste en train de dormir à son comptoir en ronflant. Yota entendit un peu de bruit venant de derrière. Il y avait une porte qui semblait mener à la cuisine.

"Ah bonjour Yota", salua Krystal en se tournant vers lui.

Celuic- n'avait pas pris son ourson avec lui de peur que l'aubergiste le surprenne à utiliser son pouvoir. Il salua de la main la jeune femme. Elle lui sourit en disant en disant qu'elle préparait le déjeuner. La cuisine était étonnemment propre comparé au reste.

"J'ai fait le ménage ici", ajouta t'elle.

Elle éteignit le poele et déposa une assiette de crêpes sur la table.

"Tu peux te servir. Au fait ça ne te dérange pas si j'utilise mon pouvoir? Je ne suis pas habituée à la chaleur", dit elle.

Il lui fit comprendre que ça ne le dérangait pas. Il fut juste surpris de voir son corps se couvrit de glaçe. Après quelques secondes la glaçe disparu.

"Ça va beaucoup mieux. Au fait j'espère que les crêpes sont réussies. J'ai fait ce que je pouvais avec les ingrédients que j'ai trouvés dans cette ville. C'est vraiment triste de ne voir que des gens abattus ici. Et Esperanza est sensé signifier espoir...", soupira Krystal.

Elle retrouva le sourire en voyant que Yota semblait aimer le déjeuner. C'était la première fois qu'il mangeait un vrai repas. Beaucoup se demandait si Yota n'avait pas été adopté parce que ses habits donnait plus l'impression qu'il venait des quartiers pauvres. Il sortit de ses pensées lorsque les autres vinrent déjeuner. Tous semblaient aimer sa cuisine. Din trouvait que Krystal était bien meilleure qu'elle.

"De Loco n'est pas réveillé?, demanda OniMist.

-Si mais il ne mange jamais on dirait..., remarqua Maest.

-Je suppose qu'il ne peux manger ni boire. Par contre je me demande encore comment il fait pour vivre, dit Alfonso.

-C'est vraiment dommage...", dit Krystal tristemment.

Lorsqu'ils eurent fini, ils quittèrent l'auberge.

"Bon on n'a pas trop le choix mais va falloir choisir. On s'occupe des reliques ou des cristaux de lunes?, demanda Din.

-Bon on y va à pile ou face. Pile les reliques et face les cristaux de lunes", dit Alfonso en sortant une pièce.

Il la lança mais il ne put la rattraper. La pièce roula sur le sol tandis que le groupe la suivait. Finalement elle s'arrêta mais resta droite puis se fit ramasser par un passant.

"Ok ça ne nous aide pas..., soupira le premier amiral.

-Qu'es-ce qui est le plus important?, demanda Krystal.

-Honnêtement je dirais les reliques, dit De Loco.

-Hey! T'es de quel bord?!, demanda Alfonso, choqué.

-Je ne suis du bord de personne mais l'autre monde n'est pas affecté par la quête pour ces cristaux alors que celle pour les reliques affectera les deux mondes, répondit il.

-Il a raison, dit le mage.

-Alors on n'as pas le choix de mettre la priorité sur les reliques, dit OniMist.

-Je ne crois pas", dit une voix derrière eux.

Ils sursautèrent et se retournèrent pour faire face à la jeune femme.

"Belleza?!?!, s'écrièrent Alfonso et De Loco.

-Croyais-tu vraiment pouvoir mentir à Galcian comme ça, Alfonso? Il m'a ordonner de vous suivre. Je risque de donner un rapport intéressant..., dit elle.

-...Toi!..., s'énerva De Loco.

-Allons allons. Ne t'énerve pas trop je voudrais pas que tu tombe encore dans les pommes pauvre petit..., se moqua Belleza tandis que le concerné devint rouge de rage.

-Tu as l'intention de nous arrêter?, demanda Alfonso.

-Bien vu! Gardes, saisissez-les!, ordonna t'elle.

-Belleza!...Ne le ramène pas là-bas...", dit De Loco en jetant un regard de coté à Yota.

Elle ne répondit rien et le groupe fut ammené à Valua. Galcian les attendait à la grande forteresse. Il s'avança vers ceux de l'autre monde.

''Belleza vient de tout me raconter...Joli médaillon jeune fille..., dit il en s'approchant vers Din.

-Il ne vous servira à rien!, dit elle.

-C'est ce qu'on va voir...", répliqua Galcian.

Il était sur le point de s'en emparer quand il reçu le cracha de Din en plein visage.

"Wow quelle femme!, s'exclama Vigoro avec étonnement.

-Petite garce!", cria Galcian en frappant celle-ci.

Din ne bougea pas et se contenta de lui lancer un regard méprisant.

"Lord Galcian je peux?, demanda son vice amiral en prenant la poignée de son épée.

-Non. Inutile de gaspiller ton énergie contre ça, répondit-il.

-Qu'es-ce qu'on fait d'eux?, demanda Ramirez.

-Enfermez-les. Quand à Alfonso et De Loco...Demain faites les exécuter, ordonna Galcian.

-Quoi?!, s'exclama à la fois le groupe et les autres amiraux.

-La trahison est impardonnable. Ces deux-là serviront d'exemple", termina t'il.

Le groupe fut envoyé dans des cellules.

Din · l'Impétueux Sexe: Inscrit le: 20 Aoû 2005 Messages: 2078

Chapitre 24: Cadeau empoisonné

"Qu'es-ce qu'on va faire! On n'arriveras jamais à s'échapper d'ici...Toi, ça ne te fait rien de mourir?! , demanda Alfonso qui paniquait.

-On meurt tous un jour tôt ou tard..., répondit De Loco.

-À notre âge c'est pas un peu tôt ?!

-Il y a bien des enfants et d'autres gens plus jeunes qui peuvent mourir", soupira t'il.

Alfonso se tût et fit les cents pas dans la cellule. À l'étage au dessus était enfermé le reste du groupe.

"Il faut les sauver!, s'écria Din.

-Comment? On n'a aucun moyen de sortir d'ici, dit Maest.

-Oui mais on ne peux pas rester là à rien faire, répliqua OniMist.

-Attendez! Je peux peut-être essayer quelque chose", dit Yota.

Il se dirigea vers la porte et fit sortir les fils de ses doigts. Après une habile manoeuvre la porte s'ouvrit.

"Bon il est temps d'aller chercher les autres et après on se casse!, dit OniMist.

-Avant va falloir...me passer sur le corps mini beauté" dit une voix masculine.

Devant eux se tenait Vigoro.

"Tu crois que t'as une chance contre nous tous?! Je sens que ça va être facile, dit Din avec confiance.

-J'aime les femmes qui ont du caractère..." dit il avec un sourire en coin.

Din prit son médaillon et un grand jet de flamme en sortit. Vigoro s'écarta juste à temps mais fut blessé.

"Wow c'est ça le pouvoir de ce médaillon...J'en veux un. Avec ça je serai plus fort, dit il.

-Ouais mais y'en juste un exemplaire et c'est à moi alors ciao!, dit l'épeiste.

-On se reverras..., dit Vigoro avant de perdre conscience.

-Quel nul..., soupira Din en se dirigeant vers la sortie.

-Attend, il a une clé autour du cou. Ça sera peut-être utile", dit la naine.

À l'extérieur, ils se retrouvèrent face à un garde.

"Les prisonniers s'échappent!!! Les pri...UGH! ", fit le garde lorsque qu'OniMist le fit taire d'un coup de baton.

Sur le chemin ils rencontrèrent encore d'autres gardes, éliminés facilement grâce au médaillon.

Pendant ce temps.

"Quelle gamine..., remarqua la jeune fille.

-T'en fait pas Kendra. À force de trop jouer avec ces reliques, il y auras des conséquences, répondit son frère ainé, Raphael.

-Quel genre de conséquence?, demanda l'autre garçon.

-Wave...Ça se voit vraiment que tu connait rien..., soupira Kendra.

-Tu verra en temps et lieux", répondit Raphael.

Wave jeta un regard à son frère puis baissa la tête avant de finalement porter son attention sur l'écran où ils observaient le groupe.

Finalement ils atteignirent la cellule des deux amiraux.
"Comment vous vous êtes échappés?, demanda De Loco avec étonnement.
-Grâce à Yota", répondit Krystal.

Il ne le montra pas mais l'amiral fut soulagé de voir qu'il n'avait pas été rammené chez son père. OniMist essaya la clé trouvée sur Vigoro.

"Ça c'est la clé de la salle des canons, dit Alfonso.

-Yota?", demanda Maest.

Celui-ci utilisa son pouvoir de nouveau.

"Après ça on n'est plus amiraux. On est des criminels, soupira le blond.

-C'est déja un miracle que vous ayez réussi à sortir de votre cellule mais là...quitter la grande forteresse..., commença De Loco.

-N'est pas impossible!, répliqua Din.

-Et puis on peux toujours tenter notre chance", ajouta Krystal.

Ils ressortir pour faire face...à des gardes.

"Encore?!, s'énerva OniMist.

-Din tu peux t'en occupez?, demanda Maest.

-Où est le plaisir de bourriner si c'est trop facile...", soupira t'elle en
sortant quand même le médaillon.

Une nouvelle déflagration sortit du centre.

"Bon...c'est...faaaaait..., souffla t'elle avant de tomber soudainement sur le sol.

-Din!, s'écria Maest en se penchant.

-Elle allait pourtant bien tout à l'heure. Din tu peux nous entendre?, demanda Yota.

-Elle s'est juste évanoui, dit De Loco en cachant son inquiétude.

-Ça on as remarquer mais pourquoi?, demanda OniMist.

-J'en sais rien moi!", dit-il.

Raphael eut un sourire en coin tandis que sa soeur semblait déçue qu'elle ne soit pas morte.

"Qu'es-ce qui s'est passer?, demanda Wave.

-Le feu qu'elle utilisait ne venait pas du médaillon mais de Din. Le médaillon ne servait qu'à faire sortir l'énergie magique que Din possédait déja. Mais elle est encore immature et s'est mit à l'utiliser n'importe quand et évidement elle a épuiser son énergie, expliqua Raphael.

-Si ils sont tous aussi stupides qu'elle, avoir les reliques sera un jeu d'enfant, dit Kendra.

-Il ne faudrait pas les sous-estimer non plus", répliqua Wave.

Sa jeune soeur lui lança un regard noir et se tourna de nouveau vers l'écran. Din semblait revenir à elle.

"Ça va?, demanda Alfonso.

-Oui...Je me suis juste sentie fatiguée tout d'un coup, répondit elle.

-Tu as peut-être trop utiliser le médaillon, dit De Loco.

-Désolé c'est moi qui t'a demander de t'en servir, s'excusa Maest.

-C'est pas ta faute. Tu ne savais pas et je l'ai beaucoup utiliser aussi avant", dit elle en se relevant.

Din leur dit que ça allait mieux et ils reprirent leur course pour s'échapper. Ils rencontrèrent encore deux gardes.

"Là ça devient ridicule y'en as combien de gardes?!, s'énerva OniMist en donnant une tonne de coups de baton sur eux.

-S...Stop!!!On n'est pas des gardes!!!, cria l'un d'eux.

-Ouch! Arrêtez de frapper bande d'enragés!", s'exclama l'autre.

Elle s'arrêta. Ce n'était pas des gardes et encore moin des hommes. C'était des voix de jeunes filles. L'une d'elle retira son casque. Elle avait de long cheveux roux avec des petites tresses. Ses joues étaient couvertes de taches de rousseur et elle avait les yeux jaune doré. L'adolescente devait avoir dix-sept ans.

"Qui est-tu?, se méfia Alfonso.

-Naomie Trialle, répondit elle.

-Remet ton casque!!! On va se présenter plus tard! Pour l'instant faut s'enfuir d'ici!, dit son amie.

-Vous essayez de vous échapper aussi?, demanda Krystal.

-Exact. On était prisonnières, répondit Naomie.

-Comme on veux la même chose on peux faire équipe", proposa Maest.
Il n'y eut aucune protestation et ils partirent ensemble malgré le fait qu'ils ne se connaissaient pas.

"Au fait pourquoi vous vous êtes faitesd arrêter?, demanda Din avec curiosité.

-Euh..., fit Naomie assez gênée.

-Elle s'est infiltrée chez un amiral valuan. C'était Ramirez je crois, répondit la seconde.

-On est des voleurs bleus alors je voulais juste son argent, se défendit elle.

-En fouillant dans son tiroir à sous-vêtements?, se moqua l'autre fille.

-Euh...bah...Y'a des gens qui mettent leur économies là dedans...on ferait mieux de courir au lieu de parler!", dit Naomie.

Elle se dit qu'elle avait de la chance de porter un casque parce que son visage était devenu rouge.