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Ma fic (chapitre 1 edité)
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Din
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MessagePosté le: 22 Fév 2006, 23:06    Sujet du message: Ma fic (chapitre 1 edité) Répondre en citant

Bon d'abord j'ai enfin changé le titre pourri. Le nouveau titre c'est : " La terre de l'ancien monde" Ok c'est certainement pas le meilleur titre de tous les temps mais c'est mieux que l'ancien en tout cas.


Sinon pour savoir un peu les trucs qui vont changer: je commence àq corriger les fautes, je modifie des noms et quelques descriptions, l'histoire va être réecrite différemment et certains passages vont se passer autrement. Ces temps-ci j'ai pas mal d'inspiration et d'idées alors je vais me remettre à travailler un peu plus sur l'histoire.


Voilà le nouveau prologue.


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La terre de l'ancien monde

Prologue: Guerre du passé



Une armée d'hommes et de femmes faisait face à une horde de monstres et de démons. Parmi eux, il y avait même des humains. Des enfants d'âges différents allaient aussi participer à cette guerre qui s'annonçait violente. Le ciel était noir, c'était une nuit froide. Les nuages annonçaient de la pluie voire un orage. Mais c'était le sang qui risquait de couler sur le sol plus abondamment que la pluie...


À la tête du clan adverse se trouvait un homme. Ses yeux gris étaient froids et sinistres. Il avait la peau aussi blanche que de la neige. Il se faisait appeler Samael. L'homme sortit son épée qui était entourée d'une aura aussi ténébreuse et impure que son détenteur. Il voulait régner par la force. Samael voulait créer un monde habité par la peur et le désespoir. Il était aussi fort que cruel.


Le combat commença en même temps que l'orage. La pluie martelait le sol tandis que se mêlaient les bruits du tonnerre, des épées qui s'entrechoquaient, des pistolets et des canons comme une lugubre symphonie. Le sol se couvrait de sang, de pluie et de corps.


Cette guerre, qui semblait avoir duré une éternité, se termina après une semaine.


Un homme aux cheveux d'un blond presque blanc, regardait les lieux tristement. C'était enfin terminé et Samael était mort. Il se retourna lorsqu'il entendit une voix douce appeler son nom. Il eut un faible sourire en voyant son amie Marina. Sa tunique bleue était tachée et déchirée par endroits. Il s'avança et la serra contre elle.


« C'est fini maintenant..., dit-il avec une voix rassurante.


- Je sais Fabius, mais à quel prix ? », demanda t-elle.


Il comprenait très bien ce sentiment de douleur. Fabius avait aussi perdu des personnes chères pendant cette bataille. Il essuya les larmes de la jeune femme et lui dit qu'il fallait enterrer les morts et s'occuper des survivants. Elle hocha la tête en restant silencieuse.


Pendant plusieurs années, ils avaient aidé à recontruire les villes et les villages détruits. La vie finit par reprendre son cours normal. Fabius et Marina s'étaient mariés et menaient une vie paisible sans oublier les évènements tragiques qui avaient marqué le monde.


Quelques années plus tard...


« Non ! S'il te plaît, ne me laisse pas...», supplia Marina.


Elle avait pris de l'âge, mais elle avait gardé un peu de sa beauté. Elle pleurait, la tête posée sur le torse de son mari qui était mourant. Marina entendait les battements de son coeur qui faiblissaient de plus en plus. Dans son dernier souffle, Fabius lui dit qu'il l'aimait. Sa femme releva la tête. Il l'avait quitté... Ses dernières années furent difficiles. Fabius était parti en emportant une partie d'elle-même.


Peu après la mort de Marina, une statue du couple fut construite pour rendre hommage à ces deux héros. Elle fut installée au centre du village d'Avalon. Des fleurs furent déposées par des gens venus de partout.


Les années, les siècles et les millénaires passèrent. Le monde a énormément changé depuis cette époque. Une autre catastrophe allait bientôt bouleverser les différents peuples. Le sort du monde allait être entre les mains d'inconnus. Voici leur histoire.


Dernière édition par Din le 25 Jan 2007, 1:02; édité 4 fois
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Din
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MessagePosté le: 23 Fév 2006, 0:22    Sujet du message: Répondre en citant

J'avais la flemme de réecrire mais je me suis décidée à finir le chapitre 1 et je vais essayer de prendre moins de temps pour les autres chapitres.

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Chapitre 1: Les cristaux de lune






POV de Fabius




J'ai senti mon coeur s'arrêter et se remettre à battre presque aussitôt. Lorsque j'ai ouvert les yeux, je n'étais plus auprès de mon épouse. J'étais dans une pièce blanche et vide. Ma mémoire était assez floue. Je me souvenais de Marina mais je ne savais plus trop ce qui m'étais arrivé. Une femme avec deux paires d'ailes, une archange, vint m'acceuillir. Elle m'expliqua ce qui s'était passé.



J'ai cru que je rêvais. Elle m'avait annoncé que j'étais mort. L'archange me dit que les héros de l'ancienne guerre étaient également ici. Ils étaient devenus des gardiens qui continuaient de veiller sur le monde et j'allais aussi les rejoindre. Plus tard j'ai retrouvé l'apparence que j'avais dans ma jeunesse et trois paires d'ailes étaient poussées pendant la nuit. Ca faisait de moi un séraphin.


Je me demandais si ma femme viendrait me rejoindre après sa mort. Marina, pardonne-moi d'être parti si vite...



Fin du POV




Après plusieurs années, Marina rejoignit le groupe des séraphins, au grand bonheur de Fabius. Ils virent le monde changer au fil du temps. Ils furent aussi témoins de la création d'un nouveau monde : Arcadia. Six grands continents se sont détachés du reste et furent envoyés dans le ciel. Une couche de nuages noirs séparait les deux mondes. Une illusion fut crée pour empêcher les gens de voir les îles flottantes.




Il n'existait qu'une lune mais cinq autres apparurent. Il y avait six lunes: rouge, verte, bleue, pourpre, jaune et argente et sous chacune d'elles se trouvait une civilisation différente. Dans l'autre monde, qui était appelé Una, presque tous ignoraient l'existence d'Arcadia. Il y avait eu quelque rares témoins de l'ascension des continents mais ont les prenait souvent pour des fous. Ces histoires sur un monde céleste devinrent des contes qu'on racontaient aux jeunes enfants.




Mais, la vérité sur les deux mondes allait être connue par tous, tôt ou tard.



Tout commenca à Arcadia, dans le continent sous la lune jaune: Valua.




Dans la salle de réunion de la grande forteresse, s'étaient réunis les amiraux de l'armada impériale. Devant la fenêtre se tenait Galcian, le commandant de l'armada. Il était froid et sinistre. Il avait quarante-neuf ans, les cheveux tournant vers le gris et avait des yeux bleus glacial.



À ses cotés se tenait Ramirez, un jeune homme de vingt-quatre ans aux yeux verts. Malgré son âge il avait des cheveux blancs. Il était aussi froid que Galcian. Il lui était entièremment loyal et avait énormément de respect pour lui.




"Amiraux de Valua...Je vous remercie de vous être rassemblés aussi rapidemment. Je tiens à vous informer que nous avons réussit à capturer une silvite, descendante de la civilisation d'argent ", dit Galcian.



Par ordre de l'impératrice Théodora, il fallait trouver une silvite pour avoir des informations sur les cristaux de lunes. Ces objets servaient à réveiller des armes vivantes destructrices et puissantes: les Gigas.
Un vieil homme prit la parole:



"Quoi?! Comment?, demanda-t-il surpris.




-Heh Heh...Évidemment c'est moi qui l'a trouvée en premier. Mais, mon propre vice-capitaine m'a trahi, permettant à des pirates de l'air de s'infiltrer dans mon vaisseau et ils l'ont prise avec eux", dit d'un ton pompeux le jeune homme en face de lui.




C'était l'amiral Alfonso Valdez. Il avait un air efféminé mais il était assez séduisant. Il faisait parti de la famille la plus riche et noble de Valua. Beaucoup disaient qu'Alfonso avait obtenu son rang de premier amiral seulement grâce à ça.




Le vieil homme était le deuxième amiral: Grégorio Valdez. Son visage ridé avait une expression sérieuse. Il avait des yeux gris, une barbe et des cheveux blancs. Il portait une armure rouge-orangé et or. C'était un expert en stratégie et en défense, ce qui lui a valu le surnom de "Muraille de fer". C'était le plus sage et honorable des amiraux.




L'homme à coté de lui qui n'écoutait que d'une oreille semblait soudainement s'intéresser à la conversation.



"Une minute! La silvite est une femme alors! Quel âge elle a? Es-ce qu'elle est jolie? Es-ce qu'elle porte du cuir? J'aime mes femmes folles et sauvages...", dit-il, bavant presque en y pensant.




Le troisième amiral était connu pour être un expert en combat et aussi pour sa popularité auprès des femmes. Il avait trente-et-un an et une carrure assez imposante. Il mesurait deux mètres dix. Il portait une armure bleue et or qui recouvrait un peu ses épaules et ses côtes. On pouvait voir les muscles de son torse et de ses bras. Ses cheveux bruns étaient remontés en un gros pic au dessus de sa tête.




Belleza Corteze, la quatrième amiral lui répondit:



" Vous n'avez pas de chances, Vigoro. Elle est tout à fait le contraire. Elle s'appele Fina, elle est timide et réservée. En ce moment elle doit être transportée au palais impérial ".



Belleza avait des cheveux auburn ondulés qui tombait sur ses épaules. Elle avait vingt-sept ans, les yeux verts et l'expression de son visage montrait qu'elle était sure d'elle.



" Très bien, amiral Belleza. Je vois que vous n'êtes pas notre experte en espionnage pour rien ", commenta l'homme à coté d'elle.



C'était le cinquième amiral, De Loco. Personne ne savait si c'était vraiment son nom de famille ou un speudonyme alors on connaissait encore moins son prénom. Son apparence était assez étrange. Ce qui attirait surtout l'attention c'était le dôme de verre qui recouvrait sa tête. C'était le genre de personne que les gens préfèraient éviter. Beaucoup disaient qu'il était fou mais, c'était aussi un génie et un des meilleurs ingénieurs de Valua.



De Loco eu un sourire en coin avant de dire: "Bien sur, étant à la tête du développement des armes, je suis profondément interessé à la technologie de la civilisation argente!"



Galcian prit la parole.



"Je vais retourner au palais impérial et attendre les ordres de Sa Majesté pour commencer la recherche des cristaux. Fina, notre nouvelle...alliée, va nous aider à obtenir les six cristaux de lune qui se cachent un peu partout dans le monde," dit-il.



Il se tourna vers le premier amiral avant d'ajouter:



" Quant à vous, Alfonso...Vous avez menti dans votre rapport. Vous serez rétrogradé et envoyé à Ixa'Taka pour une période indéterminée.



-Qu...Quoi!? Vous pensez que j'ai menti? Ha...ha ha...De quoi parlez-vous?, demanda le concerné devenu soudainement nerveux.



- Vous avez été attaqué par des pirates de l'air et vous avez déserté votre vaisseau et votre équipage pour sauver votre peau. Votre équipage a été relaché avec votre vaisseau par les pirates. Ils sont revenus récemment et nous ont rédigé un rapport complet et PRÉCIS. Notre armada est invincible. Montrer tout signe de faiblesse est impardonnable. Je crois que vous n'oublierez pas ça", dit Galcian avant de mettre fin à la réunion.



Alfonso n'avait pas dit un mot après ça. C'était une situation très embarrassante. À la sortie, De Loco le regardait en ricanant.



POV de Alfonso



Non mais...il a un sacré culot! Il devrait se regarder avant de se moquer de moi. Comme si je n'avais pas été assez humilié. En plus, je vais être obligé d'endurer ce malade mental à Ixa'Taka. Pourquoi as-t-il fallu que Galcian décide de m'envoyer dans cet endroit putride.



Je l'ai toujours profondément méprisé. Un noble de mon rang devrait être aux ordres de l'impératrice Téodora. Si je serais le commandant de l'armada, je renverrais De Loco et Belleza là où ils auraient dû rester.



Dès la première fois que je l'ai vue, j'ai tout de suite remarqué que Belleza venait des taudis. C'est vraiment une honte d'avoir ça à l'armada. Dès que j'aurai retrouvé le cristal de la lune verte, ils verront que je vaut beaucoup mieux qu'eux. Je vais prouver à tous que je suis le meilleur amiral de l'armada.



Fin du POV



Alfonso eu un petit sourire avant de se diriger vers son vaisseau, le Cignus. Le temps était venu d'aller à Ixa'Taka, le continent de la lune verte.


Dernière édition par Din le 25 Jan 2007, 1:01; édité 2 fois
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MessagePosté le: 23 Fév 2006, 18:29    Sujet du message: Répondre en citant

Bien sur , elle a l'air tres bien (dommage qu'elle se situe sur le passé mais bon ca veut rien dire)
_________________
Si tu lis ca, c'est que tu flottes sur un spectre. Un spectre de mon passé, au sens physique du terme, une trace dans la lumière qu'a laissé mon âme. Une trace maintenant inactive du beau royaume d'internet, mais une archive, un écrit qui nous indique que peut-être, à un moment de notre existence, nos âmes etaient au même endroit
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MessagePosté le: 23 Fév 2006, 19:58    Sujet du message: Répondre en citant

oui trés interessant ^_^
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Din
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MessagePosté le: 01 Mar 2006, 21:44    Sujet du message: Répondre en citant

Merci heureux

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Chapitre 2: Le vent tourne



Ixa'taka était le continent où De Loco était envoyé. Le Cignus et le Chaméléon, le vaisseau de De Loco, se rendirent devant l'océan Sud. Des tornades envahissaient l'endroit en permanence. C'est pourquoi c'était considéré comme le lieu le plus difficile à traversé.

"Avec le nouveau moteur renforcé que j'ai développé on va pouvoir passer plus facilement. Tu va pas de perdre en chemin?, se moqua De Loco.

-Oh ferme-la!", lui répondit Alfonso à travers la radio.

Le début de la traversée de faisait sans trop de problèmes mais soudain...

"Amiral De Loco! On a détecté quelque chose sur le radar...Ça approche rapidemment! ", avertit le vice-capitaine.

L'amiral vérifia et il vit un...non deux...en fait c'était le tricylone. Une rare mais mortelle découverte. Ces trois tornades croisées ensemble étaient destructrices. Alfonso les vit égallement et s'empressa de contacter l'autre amiral.

"De Loco, on retourne à Valua! On a pas une chance contre ça! Je suis trop jeune et beau pour mourir dans cet endroit putride", s'écriait-il lâchement.

De Loco allait répliquer quand le Chaméléon se mit à trembler fortemment.

"Alfonso?...Bon sens c'est quoi le problème?! Une machine parfaite ne brise pas!", se plaignit l'amiral en voyant que la radio ne fonctionnait plus.

À mesure que les cyclones approchaient, la force des vents augmentaient. Les deux navires valuans finirent par céder. Ils perdaient de l'altitude et étaient cernés à cause des autres tornades. Alfonso paniqua encore plus en réalisant que le contact radio était coupé. Il se dit qu'il n'avait plus qu'une chose à faire...

"ON VA TOUS MOURIR!!", cria-t'il. Il tomba et se cogna la tête contre le sol dur. De Loco n'était pas dans une meilleure situation. Le Chaméléon s'était retrouvé au centre d'une tornade et fut attiré vers les profondeurs.
Plus rien ne marchait. La pression allait surement détruire les deux vaisseaux.

Après ce fut le vide total...

"Alors ils vont comment?", demanda une voix qui semblait lointaine.

"Ils ont des blessures mineures quand à l'autre homme, il va falloir réparer son...scaphandre au plus vite", répondit une autre.

Alfonso ouvrit les yeux et regarda autour de lui. Était-il dans les profondeurs? Qu'es-ce qui s'était passé? Qui étaient les personnes qu'il avait entendu parler? De Loco était-il en vie?

"Ah il y en a un qui se réveille!", dit un vieil homme.

L'amiral vit à coté une vieille dame et son collègue toujours inconscient.

"Qu'es-ce qui s'est passé, demanda t'il.

-On étaient sortis quand on vu de la fumé puis on a vu vos vaisseaux en ruines. Il a fallu plusieurs personnes pour vous dégager", expliqua l'homme.


De Loco reprit conscience. Il essaya de parler mais ne put dire un mot avant de se mettre à tousser. Il vit son scaphandre assez abimé sur une table. Il remarqua que Alfonso était réveillé égallement. Il détourna le regard. Alfonso comprit que De Loco ne portait pas ça pour rien...
Les deux amiraux se dirent qu'ils avaient eu de la chance d'avoir survécu.

" Es-ce qu'on est à Ixa' Taka? ", demanda Alfonso.

Le couple le fixa avec un air confus.

"Ixa' quoi? Vous êtes au village Celestian. Vous venez d'ailleur c'est sur", dit le vieillard.

Les deux Valuans leur expliquèrent ce qui s'était passé et d'où ils venaient.

"Arcadia...Je croyais que ce n'était qu'une légende. Il parait qu'il y a un vortex menant à une monde de nuages noirs qui serait connecté au notre...", dit la femme pensive.

C'était un vieux couple bien aimable. Après que le scaphandre de De Loco soit réparé, ils se dirent qu'ils pouvaient se débrouiller et visiter les lieux.
Avant qu'ils ne partent, le vieil homme remit à De Loco une carte.

"Je connais une jeune fille, Karen, c'est une guérisseuse de très bonne réputation. J'ignore ce que vous avez mais la carte indique aussi où elle vit. Elle peux peut-être vous aider qui sait?, dit il.

-...Merci...", répondit l'amiral.

Ils sortirent et commençèrent à se promener dans le village.


Dernière édition par Din le 16 Juil 2006, 19:36; édité 1 fois
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Din
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MessagePosté le: 03 Mar 2006, 5:41    Sujet du message: Répondre en citant

Au fait, mon personnage virtuel, Din , (que j'incarne dans les rp) est égallement dans cette fic.
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Chapitre 3: Situation périlleuse


La jeune fille verrouilla la porte de sa boulangerie après une journée de travail. Elle s'appellait Din Redfire. Âgée de quinze ans, elle avait un tempéramment de feu. Ses cheveux rouge rebelles étaient très courts. Ça lui donnait l'air d'un garçon. Elle avait de grand yeux bleus clair qui contrastaient avec ses cheveux rouge. Ses parents sont morts lorsqu'elle avait quatre ans. Elle fut adoptée mais à sept ans, Din partit pour apprendre à combattre. À douze ans, elle avait construit sa maison et l'année suivante la boulangerie en face de chez elle. Din avait remarqué de la fumée ce matin mais elle n'avait pu sortir pendant son travail. Il n'y avait plus de fumée mais elle se rappellait d'où ça venait alors elle se dirigea vers les lieux.

Pendant ce temps, les deux Séraphims sentaient un danger planant. Fabius et Maria avaient retrouvés leur apparence du temps qu'ils étaient sur terre. La différence c'était que tous les deux avaient de pures ailes blanches.

"Crois-tu que Samael continue de vivre comme nous en ce moment?, s'inquièta Maria.

- ...Je ne sais pas mais quoi qu'il en soit ça ne présage rien de bon.

Il marqua une pause avant de demander: "Pourquoi as-tu sauvé ces hommes?

-On n'aurait pas dû créer les profondeurs et ces six lunes. C'est à cause de ces lunes si il y a eu ces pluies de la destruction".

Elle faisait référence aux pierres de lunes qui s'écrassaient sur la terre. Les pluies de la destruction c'était quand des pierres de lunes sont tombées par milliers de chacunes des lunes. Des millions de gens ont été tués.

"Si il n'y aurait pas les profondeurs, les pluies auraient atteint le reste aussi , rassura Fabius.

- Un danger les menaçent tous. Des monstres sont réapparut et les démons existent toujours. Tu te rappelle de ces armes que l'ont utilisaient?, demanda la jeune femme.

-Oui c'était les reliques utilisées pour repousser Samael. Elles ont été remises à l'état où elles étaient avant qu'on ne les trouves et les joyaux pour les activer aussi.

-Si un être maléfique s'en empare...

-...Le monde sera détruit", compléta Fabius.


Ils réfléchissaient. Devenus Séraphims, ils ne pouvaient pas retourner sur terre. Il fallait que quelqun d'autre prenne la tâche de mettre les reliques hors de porté. Mais qui?...

Pendant ce temps, les deux amiraux étaient aller vers les ruines de leurs vaisseaux.

"Bah une fois revenus je m'en paierais un nouveau", dit Alfonso simplement.

Le second ne répondit pas. Tous ce pourquoi il avait mis tant d'efforts n'était plus qu'un amas de métal. Son vice-capitaine ne semblais pas avoir survécu non plus...Il resta là un moment sans rien dire.

" Hé! T'as pas écouter? Je viens de trouver quelque chose", dit Alfonso.

Il tenait une sorte de talisman en bois avec un saphire au centre.

"Hé hé...Qui le trouve le garde. Je vais devoir enlever le bois autour...Cette pierre est surement la seule chose de valeur", ajouta t'il.

Un grognemment se fit entendre.

"Alfonso ne te retourne pas et cours...", dit De loco en reculant.

Celui-ci se retourna malgré tout et vit une sorte de...Peut-importe ce que c'était, ce n'était pas humain. C'était une créature rouge sur quatre pattes avec des yeux argent. Elle avait des griffes qui sortait des cotés des pattes avant. Le monstre sauta vers Alfonso quand chose l'atteignit au torse en explosant au contact. Alfonso se retourna. De loco tenait de la poudre à canon rammassée dans les débris des vaisseaux. Dans l'autre main il tenait un bout de cuir et une alumette.

"Tu fais quoi?!, demanda le blond.

-...J'improvise. Toi, ta rapière est là pour décorer?

-Comment ose-tu me parler de cette façon?! Je vais le dire à tante Théodora! Elle te fera arrêter et emprisonner!

-Occupe-toi de cette chose avant! ", répliqua De loco en envoyant une autre bombe de fortune.

Alfonso sorti une rapière avec une lame jaune. Le manche était doré et bien décoré. Il avait équipé une pierre de lune jaune donnant à son arme les pouvoirs de l'électricité. Par contre, son manque de connaissance en combat confirma ce que De loco pensait.
Alfonso n'avait pas obtenu le rang de premier amiral par compétence mais à cause de sa famille qui était la plus riche et noble de Valua.
Ce dernier recu soudain un coup de griffe. La manche de son élégant ensemble était déchirée et le tissu blanc devint rouge.

"Ouch! Cette créature va payer pour avoir touché un noble!

-La ferme! Ce truc revient et je n'ai plus de matériel pour faire des bombes!", lui cria le petit homme.

Soudainemment le monstre reçu une boule de feu dans une côte. Les deux amiraux se retournèrent et virent un garçon aux cheveux rouge qui venait de lancer un sort. À leur surprise, c'était en fait une jeune fille aux allures de garçon manqué.

"Salut!", dit elle avec simplicité.

Elle sortit son épée et fonça vers le monstre.
Alfonso se dit qu'il n'allait pas perdre son honneur en laissant une fille vaincre le monstre. Il envoya un coup d'estoc contre celui-ci tandis que la nouvelle arrivante plantait la lame dans son dos. Ils retirèrent leur armes du corps sans vie de la créature.

"J'aurais aimé arriver avant pour avoir plus d'actions mais on ne peux pas tout avoir , dit la guerrière en passant un chiffon sur son épée recouverte d'un liquide poisseux.

-Et...tu es?..., demanda De loco.

-Din Redfire", répondit elle en tendant la main.

Il resta un moment à la fixer puis avança la sienne avec hésitation.

"De loco...Lui c'est Alfonso , dit il.

- Je peux me présenter et dois-je te rappeller que je suis blessé?! , répliqua celui-ci en montrant son épaule qui saignait beaucoup.

-Sacres", dit le petit amiral.

Une lumière verte recouvrit la blessure et la plaie se referma. Din le regarda avec surprise.

" C'est quoi ce sort?, demanda t'elle.

Ce fut les deux amiraux qui eurent l'air surpris.

-Sacres, un sort de la lune verte pour soigner, répondit De loco.

-Lune verte?! À en juger par votre apparence vous aviez déja l'air étrangés. Vous venez d'où?", demanda la jeune fille intéressée.

Ils lui expliquèrent.

"Wow! Je croyais qu'Arcadia n'était qu'une légende...On me parlait d'un monde qui avait six lunes quand j'était gamine", dit elle.

De loco se rappella de l'étrange talisman qu'Alfonso avait trouvé. Il le rammassa et demanda à Din si elle savait ce que c'était. Elle fit un signe négatif de la tête. Pendant qu'ils parlaient, Maria et Fabius les observaient.

"Le talisman d'Ondine..., pensa Maria.

-Celui qui l'aura sera en danger...Ce monstre ressemble à un des envoyés de Samael. On dirait qu'ils ont trouvé un nouveau maître..", dit le Séraphim. Celui-ci avait lu dans les pensées de sa femme.

"Il faut les prévenir...", dit elle.

Les deux Séraphims fermèrent les yeux et s'illuminèrent. Les trois humains furent téléportés dans une salle blanches éclairée par des torches .
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Din
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MessagePosté le: 04 Mar 2006, 3:30    Sujet du message: Répondre en citant

En passant désolé du triple post

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Chapitre 4: Messagers du destin





"Où sommes-nous?, demanda Alfonso déconcerté.

-J'en sais rien, répondit Din.

-Bienvenue à vous", dit une voix douce.

Ils se tournèrent et virent un couple d'anges. Plein d'évènemments s'étaient produit en peu de temps. Ils se retrouvaient dans un autre monde, s'étaient fait attaqués par un monstre et aidés par une jeune inconnue. Quelque chose leur disaient qu'ils ne seraient pas au bout de leur surprise.

"Vous avez l'air...troublé..., dit Fabius à De loco.

-Vous n'avez rien à craindre de nous, ajouta Maria.

-Heu...Pourquoi on est là?, demanda Din.

-Directe...Ce talisman...je suis désolée de vous le dire mais en le trouvant vous venez de vous embarquer dans une situation assez délicate...", dit Maria.

De loco se tourna vers Alfonso comme s'il allait dire: "Bon qu'es-ce que t'a fait encore?" mais il resta silencieux.

"C'est le talisman d'Ondine. Une des reliques servant à activer le Trident de Saphir, une des armes sacrées utilisées durant la guerre il y a des millénaires, expliqua Fabius.

-Trident de Saphir? Armes sacrées? Reliques? Et de quelle guerre vous parlez???, demanda Alfonso, confus.

-C'est une histoire très longue..., répondit Maria.

-Bah tant qu'à être là on doit l'écouter pour comprendre, dit Din.

-Très bien...il y a longtemps...Bien avant que les profondeurs d'Arcadia n'existent. Bien avant que vos continents quittent la mer pour s'élever dans les airs. Dans le temps où il n'existait que la lune d'argent, les mondes n'étaient qu'un. Toutes les races vivaient en harmonie, commença Maria.

-Un homme avide de pouvoirs à voulu déclarer la guerre à l'empereur du continent que vous appellez à présent Valua. Il a échoué une fois mais un jour il est revenu. Prêt à tout, il a formé un pacte avec un clan de démons. Ils lui ont donné des pouvoirs à la condition qu'ils règnent aussi. Voulant établir un empire par la force, il a tout de suite accepté. Depuis ce jour il s'est fait appellé Samael. Il a détruit des milliers de villes, tuant sur son passage plein d'innocents. Une armée a été fondée puis divisée en groupes pour retrouver des reliques permettant d'activer les armes sacrées, continua Fabius.

-Il y avait une épée, un canon, une baguette..., énuméra Maria.

-Ces armes choississent leur maître tout comme les reliques mais il existe une façon de les corrompre. Samael la connaissait et c'est pourquoi il les cherchait. Nous avons pu les trouver et ces armes ont été utilisées pour détruire le mal qui rongeait ce monde.

-Après la guerre les armes ont perdues leur pouvoirs...

-Et les reliques ont été restaurées à l'endroit où elles étaient au départ.

-Le temple qui se trouvait là où vos vaisseaux se sont écrasés a été détruit il y a longtemps mais le talisman a put survivre et rester à sa place, termina Maria.

-Comment savoir si le talisman choisit l'un de nous ? , demanda Din.

-Il émettra une forte lumière au début. Dans les mains d'une personne non-élue ce talisman n'a aucun pouvoir répondit Fabius.

-Le monstre vous a attaqué parce qu'il voulait la relique..., dit Maria.

-Dans ce cas vous pouvez l'avoir!", s'exclama Alfonso.

Il tendit la relique aux deux séraphims mais ceux-ci ne la prirent pas.

"C'est une tâche difficile mais il faut que vous retrouviez les autres reliques ainsi que leurs détenteurs. Après notre mort, nous avons séparés les continents et créer les profondeurs. Quand vos navires ont sombrés, j'ai ouvert le passage vers ce monde. Nous ne pouvons pas retourner sur terre. Nous avons besoin de vous. Ce n'est pas juste ce monde qui est en danger. Le votre l'est aussi, dit Maria.

-Au moment où on se parlent d'autres personnes comme nous sont en train d'avertir des descendants des combattants ou d'autres personnes qui ont comme vous trouvés ces reliques par hasard. Vous n'êtes peut-être pas descendant des élus mais s'il vous plait...Pour la survie de ce monde et d'Arcadia...Aidez-nous...", termina Fabius.


La pièce disparue. Alfonso, Din et De loco se réveillèrent. Ils n'avaient pas quittés les lieux. C'était juste une sorte de voyage astral. Din se leva et demanda aux deux autres: " Bah... Qu'es-ce qu'on fait? Ça a l'air sympa comme quête."
Ils ne savaient pas trop quoi répondre. C'était une journée où tout avait changé d'un coup. Ils ne connaissaient Din que depuis peu et ils risqueraient de voyager ensemble pour une quête dans lequel ils se sont embarqués sans le vouloir.

"Alfonso...Toi et ta manie de toucher à tout", dit De loco.
L'autre amiral se contenta de soupirer.
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MessagePosté le: 04 Mar 2006, 21:28    Sujet du message: Répondre en citant

Certain noms de lieux et de techniques de combats (dans les chapitres suivant) seront pris de Tales of Symphonia. Je vais en créer quand je trouverais de l'inspiration.

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Chapitre 5: Compagnons d'infortune





"Alors faut juste trouver la personne élue par le talisman, on lui donne et elle vient, dit Din.

-Quel plan...", répondit De loco avec sarcasme.

Elle aimait l'action et les combats. Depuis l'enfance, Din voyageait en quête d'aventures. C'était donc l'occasion rêvée. Quand à ses deux "compagnons de quêtes", ils n'avaient pas une attitude très...amicale. De loco semblait du genre distant et solitaire et Alfonso avait l'air de se soucier sutout de son image. Mais elle n'allait pas les jugés. Peut-être qu'un jour ils pourraient devenir amis qui sait?

"Hey Din!", appella une voix.

Un garçon de dix-sept arriva. Il avait des cheveux chatain et des yeux couleur noisette. Il avait une large cicatrice sur son épaule visible. Ses vêtements étaient blanc en grande partie avec un peu de vert foncé.

"Salut Maest! ", dit Din à son ami.

Din et Maest se connaissaient depuis l'enfance. Ils se sont affronter en combat lorsqu'elle voyageait pour la première fois. Il est devenu comme un frère pour Din.

"Din, tu ne va pas croire ce qui m'est arrivé tantôt!", dit celui-ci.

Il raconta qu'il a vu un ange apparaitre devant lui. Din lui répondit qu'elle, De loco et Alfonso avait vu la même chose.

"Ils vous ont laissez une carte à vous?, demanda Maest.

-C'est la seule carte que j'ai eu, répondit De loco en montrant la carte qu'il avait reçu.

-Sur la mienne ça indique une île nommée Inferno. Il parait qu'on y trouve l'oeil d'Efreet, le joyau du feu, dit Maest.

-Minute! C'est bien beau de faire cette quête mais contre un monstre on s'est pas révèlés être doués..., répliqua le petit amiral.

-Ouais...on devrait s'entrainer avant de foncer n'importe où, approuva Maest.


-Mais dans quoi on s'est embarqués...On devrait être à Ixa'Taka pour trouver le cristal de la lune verte et on se retrouve ici..., se plaignit Alfonso.

-Bah on trouveras suremment un moyen de vous ramenez à Arcadia. Il y a peut-être des reliques là-bas", dit Din.

Il fallait s'organiser et savoir où aller. Le groupe décida finalemment d'aller à Sybak pour trouver des archives qui pourraient aider à en savoir plus sur les reliques. Les compagnons d'infortune allait commençé leur longue quête.

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Ce chapitre est un peu plus court à cause du manque d'idées.
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MessagePosté le: 15 Mar 2006, 0:14    Sujet du message: Répondre en citant

Je ne sais pas pourquoi je continue mais je le fait quand même. Encore une fois c'est un chapitre court mais les autres qui viendront sont supposés êtres un peu plus long. J'espère aussi que ça devenir intéressant un jour.

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Chapitre 6: Route tracée




Ils avaient fouillés et assemblés plusieurs documents. Ils n'avaient pas fait ça pour rien. D'après ce que les archives disaient, certaines reliques se trouveraient sur les îles: Inferno, Dumpisland, Time et...Valua.

"Bon c'est déja un début...Au fait où on va s'entrainer?, demanda Alfonso.

-Une guerre se prépare à ce qu'il parait...Ils forment des groupes pour entrainer soit des gens pour aller à l'armée ou soit pour auto-défense. Notre empire cherche les reliques aussi, dit Din sombrement.

-...Si l'impératrice Théodora serait au courant de l'existence des reliques, elle voudrait encore plus de pouvoirs..., dit De loco.

Maest et Din se dirent que séparer les différents lieux n'étaient pas une si mauvaise idée. Le lendemain, ils virent une cariole à la sortie de la ville.

"Nous ne vous forçons pas à faire partie de l'armée impériale mais nous vous offrons un entrainement que vous puissez défendre votre famille, amis et vous-même!", dit le garde.

Le groupe s'avança et monta à l'intérieur. Ils furent surpris de voir des enfants de très jeune âge à l'intérieur. De loco semblait indifférent. Ses yeux cachés et sa voix neutre la plupart du temps rendait impossible de savoir ce qu'il pensait.

Le voyage dura une demie journée. Ils sortirent et purent voir au loin un vieil ouvrir les rideaux qui recouvraient une cariole laissant sortir des oiseaux. À la surprise des deux amiraux, les oiseaux prirent formes humaines laissant place à un groupe de jeunes femmes en uniformes verts.

"Ce sont des druides. Les humains et les elfes peuvent s'entrainer à le devenir. Ils utilisent les pouvoirs de la nature et de la faune pour les combats, expliqua Din.

-Moi je suis un mage. J'utilise les sorts élémentaux. Il y a aussi deux autres sortes de mages: Les mages blancs et les shamans. Les mages blancs utilisent les pouvoirs de la lumière et les shamans ceux des ténèbres, continua Maest.

-Moi je suis épéiste mais je peux utiliser la magie de feu aussi", dit Din.

Un soldat vint à leur rencontre. Din et Maest donnèrent les informations sur leurs classes. Puis il se tourna vers les deux Valuans. Il semblait se retenir de rire.

"Et vous?, demanda t'il.

-Je suis épéiste.

-D'accord souhaiter vous apprendre des sorts?

-Hum...Des sorts électriques.

-Très bien...Et vous?

-Heu...Je ne suis pas très spécialisé en combat..., avoua De loco.

-...Avez vous certaines compétences?

-Je suis ingénieur. Je travaille dans la méchanique, crée des armes et des vaisseaux. Je dessine les plans aussi.

-Je vais voir ce que je peux faire", dit le soldat.

En s'éloignant on pouvait l'entendre ricaner.

"Quel crétin...", soupira Din quand celui-ci était assez loin pour ne pas l'entendre. Elle se tourna vers De loco avant de lui dire: "Bah l'écoute pas. Tu t'es bien débrouillé dans le combat de tantot".

Il la regarda, déconcerté mais ne dit rien. Elle se dit qu'il n'était peut-être pas habitué aux bons commentaires... Alfonso fit remarquer au groupe que le "crétin" revenait.

"Bon vous allez être acceptés mais ça risque d'être compliqué pour celui-là puisqu'il n'y a pas d'autres...ingénieurs...

-De loco viendra s'entrainer avec nous alors, dit Alfonso.

-Après tout, les groupes ne sont pas séparés en classes. Et puis ça fera changement quelqun avec une classe à part, approuva Maest.

-Hum...D'accord si vous y tenez...", répondit le soldat qui semblait déçu.

Tandis qu'il s'en allait, l'ingénieur marmonna un "Merci".
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MessagePosté le: 22 Mar 2006, 3:34    Sujet du message: Répondre en citant

(je trouvais le topic commentaire inutile alors je l'ai supprimé)

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Chapitre 7: L'île du feu




Une semaine était passée et Alfonso s'était amélioré. Il se battait contre Din et a réussi à lui faire une fine entaille sur l'épaule. Quand le combat fut terminé, ils revinrent vers les autres. Din avait appris de nouvelles techniques et Alfonso se débrouillait mieux. Maest avait de nouvelles connaissances en sorts et en soins. De loco, lui, n'avait put apprendre autant qu'eux parce qu'il n'utilisait pas d'armes. Les combats risquaient d'être difficiles. Il devait porter en permanence son casque à oxygène qui était assez lourd et garder son équilibre. Donc ça gênerait ses mouvements.

Il se contenta de rester dans son coin et tracer des plans pour le Chaméléon. Il avait acheter des matériaux pour fabriquer des bombes. C'était mieux que rien.
Le groupe resta deux semaines puis choisit de se rendre au port le lendemain. Leur première destination était l'île Inferno. Au levé du soleil, ils étaient déja prêts à partir. Se rendre au port n'était pas très long puisqu'il se trouvait juste dans le village voisin .

"Alors vous naviguer sur l'eau..., remarqua Alfonso.

-Bah oui. Vos bateaux volent dans le ciel?, demanda Maest.

-Ouais les poissons nagent dans les nuages!, ironisa Din.

-C'est exact", répondit De loco.

Din se tut, surprise. Elle espèrait bien voir Arcadia de ses propres yeux. Maest dit aux autres que leur bateau était là. Ils virent...une vieille barque en bois qui n'avait pas l'air solide du tout...

"Tu plaisante?!, s'exclama Alfonso.

-Tu te trompe de bateau. Je parle de celui à gauche", répondit Maest avec un sourire.

Ils regardèrent et virent à coté un grand bateau blanc assez luxueux. Le reste du groupe semblait satisfait et monta sans attendre.


Le voyage était assez long. Din avait emmené des beignets de sa boulangerie à la demande de Maest. Celui-ci disait que ça les ferait "patienter". Après un certain temps, le ciel commençait à devenir écarlate et noirci. Ça ne pouvait pas être le crépuscule puisque ce n'était que le début de l'après-midi. Une odeur de souffre se faisait sentir.

"On es pas loin..., remarqua Maest.

-Euh on sait. L'île se voit d'ici " , répondit la jeune épéiste.

L'île était assez impressionante. Ça méritait bien le nom "Inferno". Une chaleur étouffante règnait et l'île semblait contenir une centaine...non des milliers de volcans. La végétation ne semblait pas exister dans ces chaleurs arides. Ils se préparaient à stopper le bateau et descendre quand Din sauta sur la plage avant.

"Et après on dit que je suis fou...", pensa De loco.

Maest eut un regard amusé. Din adorait butter des monstres. Les deux amiraux la regardait avec des yeux ronds. On aurait dit que pour elle c'était juste un jeu.

"Merci de me laisser les monstres!", cria t'elle en tuant l'un d'eux. Elle avait dit ça en souriant et en leur faisait un signe de la main. Les autres descendirent et allèrent l'aider.

"Électrum!", lança Alfonso en envoyant le sort électrique sur les monstres.

Il avait au moin une base en magie jaune comme De loco sauf que celui-ci utilisait aussi de la magie verte.

"Élan Terrestre!", dit Maest tandis qu'un séisme se forma sous les créatures.

De loco envoya une bombe contre un volcan éteint. Une partie de la paroi s'effondra sur des nouveaux assaillants . Une fois le combat fini, Din avait l'air assez joyeuse.

"Quand es-ce qu'on recommence?, demanda celle-ci avec son sourire habituel.

-Vous allez vous habituer", dit Maest aux deux Arcadiens.

Din était assez unique...

Maest s'en alla vers le volcan à moitié effondré.

"Wow t'as touché le jackpot!, dit il.

-C'est du Mythril!", s'exclama Din.

Le Mythril était un métal rare dur comme du diamant mais léger comme une plume. Ce mystérieu matériel possèdait aussi des pouvoirs inconnus.

" On devrais garder ça. On s'en sert pour forger des armes, des armures et plein d'autres choses, conseilla le jeune mage.

- Je ne m'y connais pas en Mythril et votre technologie est surement différente de la notre, répondit l'ingénieur.

- J'ai un livre sur les différents métaux, matériaux et outils de notre monde. Tu en savoir plus, dit Maest.

- Hey, ils pourraient tous les deux nous apprendre comment utiliser des pierres de lune et à faire des sorts comme eux, ajouta Din.

- Moi je n'y vois pas d'inconvénients par contre quand allons-nous partir d'ici ?, demanda Alfonso.

- Bah quand on auras trouvé la pierre, répondit l'autre épéiste.

-Quoi?! On risque de passer plusieurs jours ici?! On devoir dormir dehors comme des rats?!", s'offusqua le noble.

Quand il parlait des pauvres, il les qualifiait de rats. Tous les nobles vivant dans le haut-Valua traitaient ainsi les gens infortunés qui vivaient dans le bas-Valua. Cette cité était séparée en deux sections. Les gens riches, les nobles et ceux de haut rang social vivaient dans le haut-Valua. Tous ceux qui n'entraient pas dans ces catégories étaient forcés de vire dans le bas-Valua dans la pauvreté extrème. Il n'y avait pas de juste milieu: on était riche ou pauvre.

Din et Maest n'appréciaient guère cette manière de penser tandis que l'autre amiral valuan gardait son éternelle indifférence. Quoi que l'attitude d'Alfonso en général semblait l'énerver parfois aussi. Mais bon il fallait quand même être tolérant. Din voulut éviter de s'énerver inutilement contre lui alors elle choisit de se taire. Les heures passèrent...L'île était tellement vaste...
Trouver l'oeil d'Efreet s'annonçait difficile. Ils passèrent la nuit dans une grotte après avoir convaincu Alfonso. Son amélioration à l'épée n'avait pas augmenter son courage pour autant. Les autres l'avait menacé de le laisser dehors si il se plaignait trop.

La journée suivante, il pleuvait alors il furent forcés de rester à l'intérieur. Les nuages toxiques flottants au dessus de l'île provoquaient des pluies acides et empoisonnées. De loco étudiait le livre de Maest tandis qu'Alfonso expliquait aux deux adolescents comment apprendre des sorts lunaires. Din voulu essayer une pierre de lune rouge pour la magie de feu mais Alfonso n'avait qu'une jaune comme De loco mais ce dernier avait aussi une pierre de lune verte.
Ils n'eurent pas le choix de passer la journée dans la grotte. Demain il fallait redoubler d'effort.
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MessagePosté le: 23 Mar 2006, 13:49    Sujet du message: Répondre en citant

Chapitre 8: Au coeur du volcan





Din fut la première levée. L'idée de devoir combattre de nouveaux monstres lui donnait de l'énergie. Sans compter que la veille, elle avait du rester à l'intérieur toute la journée ça lui manquait déja.

"Allez on se réveille!!!", cria t'elle joyeusement.

Maest se leva avec un air endormi. Il vit à l'extérieur que le ciel était encore noir et qu'il était minuit. Il fit un baillement sonore.

"Din...Quand on a dit qu'on sortirais demain je voulais dire quand il va faire jour donc va dormir...", dit il avant de se recoucher. Alfonso se rendormit égallement en regrettant de ne pas connaitre le sort Slipara. Ça aurait utile pour Din...
Ils se réveillèrent encore une fois à cause de Din à cinq heure du matin. Au moin c'était moin pire...

"Mon visage va devenir pâle et terne et je risque d'avoir des cernes..., se plaignit Alfonso.

-D'après vous on commence par chercher où?, l'ignora le mage.

-L'oeil d'Efreet est une pierre faite de flamme pure donc dans un des lieux les plus chaud de l'île, supposa Din.

-On n'a qu'à chercher dans un lieu près des volcans les plus haut, proposa Alfonso.

-Pas juste près...", dit Din.

Plus tard ils comprirent de qu'elle voulait dire. Ils escaladaient la paroi d'un volcan.

"Comment on va tenir à l'intérieur ?, demanda Alfonso tandis qu'ils arrivaient presque au sommet.

-Euh...Bonne question..., dit Din. Celle-ci agissait souvent avant de penser.

-Quoi?! Il va falloir redescendre après être montés pour rien?! Bon De Loco tu va m'aider, décida Alfonso alors que son collègue avait eu plus de mal à monter.

-Si je te pousse en bas ça te va comme aide?, dit celui-ci.

- Si tu saute aussi ce sera encore mieux...", soupira Maest en entreprenant sa descente.

Une fois en bas, ils se dirent qu'ils n'étaient pas plus avançés.

"Euh je me rapelle que le mythril est utilisé pour les armures protégant des sorts élémentaux comme le feu et que c'est pratique pour les températures extrèmes, dit Maest.

-Je vais essayer de faire ces armures mais on a pas assez de métal pour en faire pour tous le monde. Je crois qu'il y en as assez pout deux personnes assez petites, dit l'ingénieur.

-Toi?, demanda Alfonso inutilement.

-Je ne pourrais pas y aller...Din et Maest pourraient sans problèmes, répondit l'autre amiral.

-Ça va prendre combien de temps?, demanda Din.

-Une autre journée..., soupira De loco.

- Quoi on va passer encore une journée dans une caverne?! Je préfère rentrer!, lança Alfonso en écartant sa mèche de cheveux comme toujours.

-Ah et comment? Vous ne pouvez rentrer ni l'un ni l'autre même si vos vaisseaux seraient réparés. Donc arrête de te plaindre!, lui dit Din avec impatience.

-Prend le temps que t'a besoin pour les armures", ajouta Maest.

Une autre journée passa. Le lendemain ils revinrent au volcan.

"Bon on va essayer d'y aller en essayant de faire vite. Attendez nous ici", dit Din.

Ils montèrent après une longue escalade, ils atteignirent le sommet. Din fut la première à descendre dans le cratère pendant que son ami la suivait de près.
Elle mit son pied contre la paroi mais la pierre chauffée n'était pas solide. L'épéiste sentie la roche s'effondrer. Maest essaya de la rattraper mais il échoua.

"DIN!!!", cria celui-ci alors que des larmes commençaient à couler sur ses joues.

Heureusement, elle atterit sur une plate-forme de pierre dure. Le jeune mage la rejoignit après avoir discrètemment essuyé ses larmes. La plate-forme se déplaçait sur le magma en fusion.

"Ça va?, demanda Maest.

-Ouais mais l'atterrissage laisse à désirer...", répondit Din qui se releva après être tombée sur le derrière.


Ils se demandaient où allait mener la plaque rocheuse. Les deux amis ne tardèrent pas à avoir leur réponse. Au début ils étaient éclairés par une lumière. Ceux-ci croyaient atteindre l'extérieur mais ce n'était émis que par une fissure en haut.

"Mais merde! Cet endroit pue le souffre et on est pas prêts de sortir!", s'énerva Maest.

L'attention de Din fut attirée vers un coin plus éloigné de l'intérieur du volcan. La plaque s'arrêta et ils allèrent sur le coté de l'endroit qui ressemblait à une caverne volcanique. Dans le fond il faisait un peu plus noir. Un faible grondemment semblait venir de là.

"C'était quoi ça? Ça ne peux pas être moi, murmura le mage.

-Es-ce que ça veux dire que tu avoue que c'est toi qui as fini le premier sac de beignets ?, blagua Din.

-Hum bon peut-importe...Ce n'était pas mon estomac et ce n'est pas toi non plus...Tu crois qu'on devrait voir?", demanda Maest alors qu'un nouveau grondemment se faisait entendre.

Elle hocha la tête. Ils s'approchèrent et ce qu'ils virent les fit sursauter. Devant eux se trouvait une créature gigantesque. C'était recouvert d'écailles rouges foncé, ça avait des cornes ivoires et des dents blanches pointues. Le corps énorme était couvert de larges plaies encore sanglantes.
C'était un dragon blessé. Il était étendu et il émettait des grognements de douleur.
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MessagePosté le: 30 Mar 2006, 3:21    Sujet du message: Répondre en citant

Chapitre 9: Le premier gardien: Le seigneur Vulcain





À la différence des autres dragons et espèces de reptiles, celui-ci avait des paupières. Il les entrouvrit montrant des yeux d'un vert profond. Ce n'était pas les yeux froids d'un prédateur meurtrier. Son regard était noble et sage. La jeune épéiste s'avança.

"Il est blessé assez gravement...", fit elle remarquer à son ami.

Il s'avança et s'agenouilla devant le dragon. Il lança le sort "Premiers soins" et les blessures se refermèrent.

Le dragon se releva.

"Icrem à suov", dit le dragon.

Maest et Din furent surpris de le voir parler. Din ne comprenait pas.

"Sel sertsnom tno équatta elî ' l..., continua celui-ci.

-Je...je ne comprend rien, répondit Din, déconcertée.

-Moi oui... Il a dit "Merci à vous" et après il a expliqué que les monstres ont attaqué l'île, traduisit Maest.

-Comment tu le sais?, demanda elle avec étonnement.

-J'ai étudier quelques vieux languages", répondit il.

Le dragon inclina la tête vers Din et Maest en signe de gratitude. Il déploya ses ailes et demanda dans sa langue ce qu'ils étaient venus chercher.


Maest lui expliqua qu'ils voulaient l'oeil d'Efreet pour empêcher des gens au coeur mauvais de s'en emparer. Le dragon baissa la tête tristemment et leur répondit que le joyau se trouvait dans cette caverne avant mais qu'il a dut la cacher ailleur. C'est quand il transportait la pierre qu'il avait été attaqué. Il avait laché la relique dans un autre volcan. Il avait réussit à vaincre son ennemi mais affaibli, le dragon a du retourner dans la caverne.

"Nous allons retrouver la relique!, dit Din avait détermination.

-Merci à vous deux. Pardonnez moi, j'ai oublié de me présenter. Je suis le seigneur Vulcain, le gardien de la relique du feu ", traduisit Maest.

Pendant ce temps...

"Pourquoi ça leur prend tant de temps?

-Si je ne te connaitrais pas assez je dirais que tu es inquiet pour eux De loco ", dit Alfonso avec un sourire en coin. L'autre amiral ne répondit pas.

"Tu as perdu ta langue depuis qu'on est arrivés?, continua t'il.

-...

-C'est à cause que ton euh...vaisseau, si je peux appeller ça comme ça, a été détruit?", demanda Alfonso.

Il l'ignora au lieu de perdre son énergie contre lui. Soudain ils virent une créature sortir du volcan. Alfonso laissa échapper un cri et tenta de s'enfuir mais il entendit Din lui crier: "C'est nous, poule mouillée!"

Il leva la tête et vit Din lui faire des signes de la main. Elle et Maest étaient sur le dos du dragon rouge. Il atterit et inclina la tête en signe de salutation aux deux amiraux. Din leur expliqua ce qui s'était passé.

" Maintenant que j'y pense, je crois que la pierre se trouve dans le volcan le plus petit, dit De loco.

-Pourquoi?, demanda Din.

-Parce que si cratère est moin éloigné du sol, la profondeur est plus grande donc il fait plus chaud", expliqua t'il.

Le seigneur Vulcain les fit monter sur son dos et s'envola. Il parcoura l'île quand soudain...

"Ennemi en approche! Il arrive du sud-ouest. C'est une sorte de dragon noir...C'est en position d'attaque!", s'écria Alfonso.

Le combat aérien commença. Vulcain lança un jet de flamme tandis que Din pointa son épée vers l'opposant en s'écriant "Orage Alpha!". Une décharge de feu formant une spirale en sortit et se dirigea vers l'autre dragon. Comme ils étaient sur l'île Inferno, la magie de feu ne faisait pas effet.

"Noxus!", lança De loco.

Un nuage toxique entoura le monstre mais celui-ci semblait aussi insensible au poison. Il fonça sur le flanc du gardien, le blessant légèrement. Maest manqua de tomber mais Alfonso le rattrapa, le fit remonter et le lacha ensuite de manière dédaigneuse.

"T'as de la chance que j'aie été là pour te sauver, dit ce dernier en passant sa main dans sa mèche de cheveux.

-Merci..., répondit le mage même s'il n'avait pas aimé le commentaire.

-El nogard tse port trof..., grogna leur allié.

-Merde! Les gars ont fait quoi?!", s'énerva Maest.

Soudain, le séraphim qu'il avait rencontré, Malëor, entra en contact avec lui par la pensée.

"Stunamos Maest! Va vers la mer pour ça! Stunamos!", dit il.

Il disparut et Maest demanda au gardien de l'île de se diriger vers la rive. Il se tourna vers les trois autres et leur demanda d'essayer de ralentir ou d'affaiblir l'ennemi.

"Pour l'affaiblir je peux essayer! Driln!", lança Alfonso.

Din se porta volontaire pour voir si sa résistance avait été affectée. " Pyro Enfer!", dit elle en envoyant une large boule de feu avec son épée. De loco envoya une bombe sur la tête du dragon. Celui-ci semblait un peu étourdit et son front saignait un peu. Les blessures étaient encore mineures mais sa résistance avait en effet été réduite.

"Suon snovirra..., prévint Vulcain.

-Il dit que nous arrivons, traduisit le mage.

-Très bien alors profite en pour lui demander de nous ramener au bateau pour qu'on parte d'ici", dit Alfonso.

Maest et les autres l'ignorèrent. Maest leva la main vers la mer et lança le sort Stunamos. Les eaux tremblèrent et commencèrent à s'élever. Vulcain sentait ce qui allait venir et s'envola plus haut avant de faire demi-tour. Le dragon noir fonçait vers eux à grande vitesse alors il n'eut pas le temps de s'arrêter. Une vague se forma et englouti celui-ci. Le seigneur Vulcain ferma les yeux et s'illumina. Une aura rouge semi-transparente se créa et entoura l'île. Quand les flots d'eau salée étaient arrêtés et que la mer était revenue à la normale, ils atterrirent sur la plage à moitié détruite. Le bateau était en ruine et le corps du dragon noyé reposait sur le sable. Alfonso se tourna vers Maest, l'air furieux.

"Maintenant on est coincés ici! Même si on l'a retrouverais cette pierre on ne va pas pouvoir partir et...", commença t'il à crier.

Din l'interrompit en lui foutant une claque monumentale. Surpris et ébranlé à cause de la force du coup, Alfonso tomba assis sur le sol. Les yeux écartillés d'étonnement, il se frotta la joue rougie.

"Arrête de te plaindre ok?! Tu deviens vraiment énervant! Je te conseille de changer d'attitude! Il vient de tuer le monstre et tu te plains encore?! Qu'es-ce que tu as fait toi depuis le début? Tu as plus de connaissances en combat mais niveau attitude tu es encore novice", dit Din.

Celui-ci se releva en silence. Le groupe remonta sur le dos du dragon rouge et continuèrent à chercher la relique dans l'île.
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MessagePosté le: 30 Mar 2006, 3:23    Sujet du message: Répondre en citant

C'est ce chapitre qui conclu le premier cahier. Le deuxième est fini et je suis rendue à la moitié du troisième.

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Chapitre 10: Reliques et savoir du passé





Alfonso était habitué. À l'armada, Galcian le prenait pour un incapable et les autres amiraux le méprisait. Il s'en fichait pas mal. Il se demandait si aimer sa propre personne remontait sa confiance en lui ou ne servait qu'a compenser pour l'amour qu'il n'avait pas eu. Alfonso balaya cettre pensée. Il revint à la réalité lorsque Vulcain atterit.

"Suov sete ua elpmet ud uef. El nolliadém ud uef tse éhcac, informa le dragon gardien.

-Il dit que nous sommes au temple du feu et qu'il y a un médaillon caché à l'intérieur.

-Je suppose que Din et Maest vont entrer dans le volcan, dit De loco.

-Sap tnemmécrof ", dit le dragon.

Il tendit une de ses ailes à l'ingénieur. Les autres remarquèrent que le métal sur les ailes de Vulcain était du Mythril. C'était donc pour ça qu'il avait les ailes si dures. Le dragon lui dit quelque chose.

"Sei...Seigneur Vulcain? Vous êtes sur?, demanda Maest, surpris.

-Qu'es-ce qu'il a dit?, demanda Din.

-Il a dit que ses ailes étaient faites de Mythril. Il a dit à De loco d'en coupez assez pour faire deux autres armures, expliqua Maest.

-Mais avec quoi? Et...vous? Qu'es-ce qui va se passer?", demanda l'ingénieur.

Quand Vulcain répondit, Maest semblait un peu moin inquiet. Le Mythril se renouvellait sur lui. Pour répondre à la première question, Vulcain montra d'un signe de tête une croix de pierre taillée grossièrement. À coté se trouvait une dague avec une lame violette plantée dans le sol.

"C'est une tombe..., remarqua Alfonso.

Din se pencha et effaca la poussière recouvrant la pierre tombale.

-Repose en paix. Que ta dague soit utilisée pour le bien. Elle attendra le prochain gla..., lut l'épéiste aux cheveux rouges.

-Ça doit être là depuis longtemps...Le reste est illisible, remarqua le mage.

-Cette dague est suremment capable de couper le Mythril", dit Din.


La dague avait l'air neuve. La lame mauve était brillante et ressemblait à du cristal. Le manche était argenté. Maest tendit la main vers la dague mais au moment où il prit le manche, il poussa un cri de douleur avant de lacher l'arme.

"C'est...C'est glaçé!", s'écria t'il. Il vit que la paume de sa main était devenue un peu mauve bleuté. Elle allait surement reprendre sa couleur normale bientôt.

"Qu'es-ce qu'une arme de glaçe fait dans ces lieux?, demanda Alfonso.

-Les deux Séraphims ont expliqué que les reliques ont étés utilisées durant la guerre. Un de ces élus devait avoir les pouvoirs de la glaçe et est venu ici, supposa De loco.

- Par contre il est mort avant ou après avoir prit la relique et ses compagnions l'ont enterré ici", termina Din.

Cette arme semblait assez tranchante pour couper le métal mais comment la prendre? Le seigneur Vulcain leur dit qu'il fallait porter des gants en cuir de dragon. Celui qu'ils venaient de vaincre allait faire l'affaire. Ils retournèrent donc au cadavre du monstre. Din coupa la peau avec son épée et tenta de faire les gants comme elle le pouvait. Ensuite elle les essaya mais ils arrivaient à peine au poignet et c'était un peu serrer. Elle les retira en soupirant.

"C'est un peu petit, remarqua Alfonso.

-Je ne suis pas douée en couture, admit Din.

-Ça peux m'aller", dit l'autre valuan en essayant les gants.

Une fois qu'ils avaient ce dont ils avaient besoin, ils retournèrent à la tombe. De loco put prendre la dague. Il sentait le froid qu'elle émettait mais les gants l'aidait à le supporter. Il coupa soigneusement le Mythril et dit aux autres d'attendre une autre journée. Ils durent passer la nuit dehors. Lorsque les autres se réveillèrent il avait terminé.

"T'a passé la nuit à travailler?, s'inquièta Din.

-Je suis habitué...", répondit il.


Le groupe alla monte sur la paroi rocheuse du volcan. Arrivés au cratère, ils entreprirent de descendre à l'intérieur avec prudence.

"Bon sens il fait chaud!, se plaignit Alfonso.

-On se demande pourquoi!", ironisa Maest.

Din leur fit remarquer une large porte en bas. Il y avait beaucoup de rocher donc ils purent s'y rendre sans trop de problèmes. Ils essayèrent d'ouvrir la porte mais sans succès.

"Et si De loco la fait exploser?, proposa Din.

-Non ça risquerait de déclencher une éruption", répondit Maest.

Alfonso fit remarquer que le levier pour ouvrir la porte se trouvait juste à coté...

"Comment tu sais que ça ouvre la porte?", demanda le jeune mage.

Le premier amiral montra une plaque où il était écrit: "Ne détruisez pas la porte. Baisser le levier pour l'ouvrir à la place." C'était assez logique...Alfonso ouvrit la porte. Ils se trouvaient dans une salle avec un autel au centre. Une lumière rouge flottait au dessus. C'était le médaillon dont le seigneur Vulcain avait parlé. Il était rouge également avec une flamme gravée dessus et quatre rubis ronds ornaient le bijou.

"Vous avez vu comment ça brille..., dit Alfonso.

-Alors c'est ça le médaillon du feu, ajouta De loco.

-L'oeil d'Efreet n'était pas la seule relique de l'île alors, dit Din.

-Justement parlant des reliques. La dague qu'on as trouvé doit être l'une des armes sacrées. Ils en parlent un peu dans l'une des archives", dit Maest.

Les deux amiraux remarquèrent qu'une pierre de lune mauve y été équipé.

"Ça date du temps avant que le monde ne soit séparé , remarqua Alfonso.

-Surement. Au fait qui va utiliser la dague? Alfonso a sa rapière et moi mon épée. Maest tu te bat avec quoi?, demanda Din.

-Euh quand j'épuise toute ma magie j'utilise mes poings, répondit-il.

-C'est une arme légère mais je ne crois pas pouvoir m'en servir non plus, soupira De loco.

-Ok on auras qu'à la mettre de coté avec le talisman d'Ondine", dit Maest.

Avant, l'ingénieur releva une de ses manches et enleva la pierre de lune verte qui était équipée sur un bracelet. Il interchangea les pierres.

"Au fait, vu la façon dont brille le médaillon c'est sur que l'elu désigné par la relique est là. Din tu devrais le prendre, dit Alfonso.

-Hein?! M-moi?, bégaya celle-ci.

-Le feu c'est pas mal ton élément", répondit Maest en souriant.

Din eu un sourir à son tour puis tendit la main vers la relique. La lumière s'intensifia et fut absorbée par la jeune fille avant de disparaitre. Din mit le médaillon autour de son cou. Il ne restait plus qu'à trouver l'oeil d'Efreet. Les quatres membres du groupe allèrent à la salle suivante. Ils sursautèrent en voyant une immense statue de femme repoussante.

"Ça fait peur ce truc...Ça avait l'air vrai au début", dit Maest.

Ils virent une boule de feu sur le sol. En s'approchant ils purent mieux voir ce que c'était. On aurait dit une sphère transparente où on aurait inséré du feu. C'était beau à voir...Ça brillait et émettait une douce chaleur tandis que les flammes tournaient et tourbillonnaient encore et encore. C'était sans aucun doute la relique qu'ils cherchaient. Maest était sur le point de prendre la pierre quand les lieux se mirent à trembler.

"Le volcan entre en éruption?!, s'écria-t'il.

-Non! Regarder la statue!", cria Din.

La pierre qui recouvrait la femme craquela. Ce n'était pas une statue mais une géante! Elle allait s’emparer de la relique ! Alfonso essaya de la ramasser avant mais la géante envoya une grande déflagration vers lui. Il se dit qu’il allait mourir brûlé.

"C’est peut-être mieux ainsi...", pensa t’il tristement.
Avant que la vague ardente ne le touche quelque chose le poussa puis il entendit un cri. Il se tourna et vit Din étendue sur le sol. Son épaule et une bonne partie de son bras était brûlé.

"Sacres ! , lança l’ingénieur. La brûlure guérit à peine…

-Din…Pourquoi ?! , lui cria Alfonso.

-Désolée…De t’avoir frappé tantôt…Et je ne pouvais pas la laisser te tuer, répondit-elle faiblement avant de perdre conscience.

-De loco va te mettre à l’écart avec elle et soigne-la le plus que tu peux ! , lui dit Maest.

-Mais c’est toi le mage ! , répliqua l’ingénieur.

-Oui mais c’est pour ça que je peux utiliser des sorts de glace et d’eau pour attaquer ! ", répondit-il.

De loco lui lança son bracelet avec la pierre de lune et s’éloigna avec Din laissant le mage et l’autre épéiste contre la géante. Alfonso sortit sa rapière tandis que Maest mis une paire de gant métallique en cas de besoin. L’amiral se dit que Din avait due avoir pitié de lui. Elle aurait fait ça pour n’importe qui. Il tremblait de peur. Même s’il ne les considérait pas comme des amis, même s’il n’avait jamais voulu faire cette quête, il n’avait pas le choix de combattre.

"Je ne veux pas être un boulet pour eux. J’en suis déjà un pour l’armada…" , pensa t’il.

Maest lança le sort Cristali. Ce n’était pas très puissant vu son manque d’expérience avec ce genre de magie. La géante allait envoyer une nouvelle charge de flamme quand Alfonso se rappela de la technique qu’utilisait la famille royale de Valua.

"Bouclier Justice ! ", s’écria t’il en levant sa rapière. Un champ de force entoura les quatre membres du groupe. Maest pouvait cette fois vraiment le remercier. Mais la créature hideuse semblait encore plus enragée.

À suivre…
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alabdark
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MessagePosté le: 01 Avr 2006, 10:50    Sujet du message: Répondre en citant

serieux j'aime bien , mais c'est difficile a croire un de loco et un alfonso gentil
_________________
Si tu lis ca, c'est que tu flottes sur un spectre. Un spectre de mon passé, au sens physique du terme, une trace dans la lumière qu'a laissé mon âme. Une trace maintenant inactive du beau royaume d'internet, mais une archive, un écrit qui nous indique que peut-être, à un moment de notre existence, nos âmes etaient au même endroit
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Din
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MessagePosté le: 02 Avr 2006, 0:35    Sujet du message: Répondre en citant

je sais, je me suis permise de les modifier un peu. Perso je ne les qualifieraient pas de "gentils". Je sais pas trop ce qu'ils vont devenir au cours de l'histoire encore. Je dirais qu'ils sont neutres pour l'instant. Je peux les faire devenir bons ou méchant n'importe quand tout dépendant des idées qui vont me venir. Et j'ignore même qui est le perso principal. J'ai pas encore toute l'histoire en tête alors j'improvise.
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